Super Castlevania IV

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Super Castlevania 4 est assurément l’un des meilleurs castlevania, sans compter qu’il fait partie des premiers jeux de la Super Nintendo, ce qui rend donc le jeu encore plus incroyable. Qui ne fut pas impressionné par ce fabuleux mode 7, ses musiques envoûtantes, des boss énormes, un fouet avec une animation convaincante et réaliste, de bon graphisme, etc….. Que ce soit la presse ou les joueurs et joueuses, le jeu a été très bien acceuilli, et il le mérite sans aucun doute.
Pour ce qui est de l’histoire, et bien pas grand chose de différent, on dirige Simon Belmont qui part à la recherche du comte Dracula qui vient de renaître de ses cendres. Est ce suffisant pour nous motiver à vouloir finir le jeu ? Clairement oui, car c’est finalement ce qu’on attend de ce genre de jeu. Bon d’accord, un petit scénario de plus concernant d’autres personnages qu’on découvrirait dans le château aurait été un petit plus non négligeable. Mais ne faisons pas la fine bouche pour autant.
Comme son nom l’indique, Super Castlevania 4 est le 4ème jeu de la série sur console. Mais en fait 3 autres castlevania sont sortis avant, 2 sur console portable et 1 sur micro-ordinateur. Bon il y en a eu un autre nommé “Haunted Castle” mais c’était sur borne d’arcade, donc quand même un peu différent des consoles et micro. Donc pourquoi ne pas tout d’abord nous intéresser à la multitude de Castlevania sortis sur consoles à ce jour ?

 

SOMMAIRE

1. Chronologie de Castlevania.
2. Le petit monde de Simon Belmont.
3. La carte et progression.
4. Début de l’aventure.
5. Le Test.
6. Le mode 7.
7. Les secrets du jeu.
8. Les images beta.
9. La censure.
10. Conseils divers à savoir.
11. Les détails.
12. Tests de magazines.
13. Conclusion.

 

1. Chronologie de Castlevania

1986
NES
Castlevania
(États-Unis) 1er mai 1987
(Europe) 19 décembre 1988
(Japon) 5 février 1993

 

 

1986
MSX2
Vampire Killer
(Japon) 26 septembre 1986

 

 

1987
NES
Castlevania II: Simon’s Quest
28 août 1987 (Japon)
décembre 1988 (États-Unis)
27 avril 1990 (Europe)

 

 

1989
Game Boy
Castlevania: the Adventure
27 octobre 1989 (Japon)
décembre 1989 (États-Unis)

 

 

1989
NES
Castlevania III: Dracula’s Curse
22 décembre 1989 (Japon)
sept. 1990 (États-Unis)
10 décembre 1992 (Europe)

 

 

1989
Game Boy
Castlevania II: Belmont’s Revenge
12 août 1991 (Japon)
août 1991 (États-Unis)
26 novembre 1992 (Europe)

 

 

1991
Super Nintendo
Super Castlevania IV
31 octobre 1991 (Japon)
décembre 1991 (États-Unis)
27 août 1992 (Europe)

 

 

1993
X68000
Akumajo Dracula
(japon) 23 juillet 1993

 

 

1993
PC Engine Super CD-rom²
Akumajo Dracula X: Chi no Rondo
(Japon) 29 octobre 1993

 

 

1994
Megadrive
Castlevania: the New Generation
17 mars 1994 (États-Unis)
18 mars 1994 (Japon)
20 mars 1994 (Europe)

 

 

1995
Super Nintendo
Castlevania: Vampire’s Kiss
États-Unis 20 juillet 1995
Japon 21 juillet 1995
Europe 22 février 1996

 

 

1997
plastation /saturn
Castlevania: Symphony of the Night
(Japon) 20 mars 1997
(États-Unis) 2 octobre 1997
(Europe) 1er novembre 1997
Saturn
(Japon) 25 juin 1998

 

 

1998
Game Boy
Castlevania
11 mars 1998 (États-Unis)

 

 

1999
Nintendo 64
Castlevania 64
(États-Unis) 26 janvier 1999
(Japon) 11 mars 1999
(Europe) Mai 1999

 

 

1999
Nintendo 64
Castlevania: Legacy of Darkness
(États-Unis) 30 novembre 1999
(Japon) 25 décembre 1999
(Europe) 3 mars 2000

 

 

2001
Game Boy Advance
Castlevania: Circle of the Moon
(Japon) 21 mars 2001
(États-Unis) 11 juin 2001
(Europe) 22 juin 2001

 

 

2001
Playstation
Castlevania Chronicles
(Japon) 24 mai 2001
(États-Unis) 8 octobre 2001
(Europe) 9 novembre 2001

 

 

2002
Game Boy Advance
Castlevania: Harmony of Dissonance
6 juin 2002 (Japon)
16 sept. 2002 (États-Unis)
11 octobre 2002 (Europe)

 

 

2003
Game Boy Advance
Castlevania: Aria of Sorrow
6 mai 2003 (États-Unis)
8 mai 2003 (Japon)
9 mai 2003 (Europe)

 

 

2003
Playstation 2
Castlevania: Lament of Innocence
(États-Unis) 21 octobre 2003
(Japon) 27 novembre 2003
(Europe) 11 février 2004

 

 

2005
DS
Castlevania: Dawn of Sorrow
(Japon) 25 août 2005
(Europe) 30 septembre 2005
(États-Unis) 4 octobre 2005

 

 

 

2005
Playstation 2/ Xbox
Castlevania: Curse of Darkness
(États-Unis) 1er novembre 2005
(Japon) 24 novembre 2005
(Europe) 24 février 2006
Xbox
(Europe) 24 fevrier 2006

 

 

2006
DS
Castlevania: Portrait of Ruin
(Japon) 16 novembre 2006
(États-Unis) 5 décembre 2006
(Europe) 8 mars 2007

 

 

2007
PSP
Castlevania: Dracula X Chronicles
23 octobre 2007 (États-Unis)
8 novembre 2007 (Japon)
14 février 2008 (Europe)

 

 

2008
DS
Castlevania: Order of Ecclesia
(États-Unis) 21 octobre 2008
(Japon) 23 octobre 2008
(Europe) 27 novembre 2008

 

 

2009
WII
Castlevania Judgment
(États-Unis) 18 novembre 2008
(Japon) 15 janvier 2009
(Europe) 27 février 2009

 

 

 

2009
WII
Castlevania: The Adventure ReBirth
27 octobre 2009 (Japon)
28 décembre 2009 (États-Unis)
26 février 2010 (Europe)

 

 

 

2010
Playstation 3 / Xbox 360
Castlevania: Lords of Shadow
(États-Unis) 5 octobre 2010
(Europe) 7 octobre 2010
(Japon) 16 décembre 2010

 

 

2010
Xbox 360
Castlevania: Harmony of Despair
4 août 2010 (Japon)
4 août 2010 (Europe)
4 août 2010 (États-Unis)

 

 

2. Le petit monde de Simon Belmont

Le fouet :

Ce qu’on peut dire c’est que son arme fétiche a vraiment de l’allure et bonifie le jeu par le simple fait d’être utilisée. 8 directions sont possibles et offrent un rendu remarquablement bien fluide au niveau du mouvement. Entre autres il est possible aussi d’effectuer des mouvements brouillons qui permettent à notre fouet de nous protéger de tirs ennemis, ou aussi de laisser le bouton action appuyé sans rien faire d’autre et de le voir longer notre corps et frapper par grignottement la barre de vie des ennemis en dessous de nous. Voici quelques exemples:

 

Les items :

Une bonne partie du jeu consistera (pour ceux qui veulent) à détruire les chandelles pour en extraire le contenu qui nous facilitera la tâche durant notre partie. Etrangement, cela ne nuit pas au jeu de casser sans cesse ces chandelles car cela fait partie intégrante des Castlevania et de la découverte du contenu.

 

Les chandelles sont un classique des Castlevania. A chaque brisement de celles-ci on obtient un item ou une arme. Donc ne manquez pas de toutes les détruire pour ainsi accroître votre chance de survie.

 

Les petits coeurs permettent à Simon d’utiliser des armes. Une arme sans cela ne peut être utilisée. Le petit coeur donne 1 seul coeur.

 

Les gros coeurs ont la même utilité que les petits. A la différence que ceux-ci en donnent 5.

 

L’étoile du matin est un item extrêmement important. Il procure au fouet une augmentation de puissance et de longueur. Pour avoir le fouet au maximum, il faut 2 étoiles du matin.

 

La petite cuisse de poulet permet de regagner une petite partie de points de vie. Intéressant.

 

La grosse cuisse de poulet permet de regagner une grande partie de points de vie. Indispensable.

 

La potion d’invincibilité comme son nom l’indique nous rend invincible un très court instant. Personnellement bien trop court et donc très peu utile. De plus il est rare d’en trouver

 

Les sacs d’argent cumulés permettent d’obtenir un score de plus en plus important et donc de gagner de précieuses vies.

 

Le double coup permet de lancer une arme 2 fois de suite. Très utile contre les boss.

Le triple coup permet de lancer une arme 3 fois de suite. Encore plus utile contre les boss. Evident non ?

 

La croix destructrice détruit tous les ennemis présents à l’écran aussitôt qu’on la touche. Un objet très rare.
Le 1up rajoute 1 vie. Un item extrêmement utile.

Le cristal magique est un objet que l’on gagne à chaque fois que l’on bat un boss. Il permet de terminer le niveau tout simplement.

Les armes :

Très utiles donc indispensables pour parvenir jusqu’au comte Dracula sans trop d’encombre. Mais attention, ces armes consomment des cœurs, donc faites le plein pour en profiter un maximum.

 

Le boomerang est assurément l’arme la plus efficace du jeu. Une fois lancé et touchant un ennemi, le boomerang revient dans la direction de son propriétaire et donc permet de toucher une 2eme fois l’ennemi, et tout ça sans gaspiller un 2eme cœur. Si en plus vous avez le double choc ou carrément le triple choc, alors là vous avez toutes les chances de votre coté, bien sûr en espérant que vous ayez suffisamment de cœur cela va de soi. Sans oublier que niveau puissance il dépasse la plupart des armes aussi. Une arme indispensable donc. (consommation en coeur : 1)

 

La hache est une arme puissante. Son autre avantage est qu’elle peut toucher des ennemis en hauteur et d’assez loin. Son défaut, et bien c’est qu’elle ne pourra pas toucher les ennemis près de nous mais uniquement ceux au loin. Ou alors elle peut toucher les ennemis se trouvant près de nous quand même mais pour cela il devra se trouver juste au dessus de Simon. Une très bonne arme tout de même. (consommation en coeur : 1)

 

Le couteau est l’arme la plus rapide mais en contre-partie c’est l’arme la plus faible niveau puissance. Mais si l’ennemi est suffisament loin vous aurez le temps de le tuer. C’est donc surtout une arme pour tuer à longue distance. (consommation en coeur : 1)

 

L’eau bénite, voilà l’arme que vous utiliserez le moins tellement il y a bien mieux. Pour sa puissance, pas grand chose à dire, c’est du tout bon. Mais niveau portée et impact de l’arme, alors là c’est vraiment pas fameux. Mais bon, si vous voulez du challenge en plus, pourquoi pas. (consommation en coeur : 1)

 

La montre est une arme/item presque cheatée si l’on peut dire. Elle permet d’arrêter le temps pendant quelques secondes et votre avancée n’en est donc que des plus faciles face aux ennemis impuissants durant ce court instant. Mais en contre-partie l’arme apparaît très rarement et de plus elle consomme 5 fois plus de cœur que toutes les autres armes. Au final une arme/item très utile mais rare et qui consomme beaucoup. (consommation en coeur : 5)

 

 

Système de mot de passe :

Dans Super Castlevania 4 il n’y a aucune sauvegarde automatique ou rapide. Le seul moyen de reprendre la partie là ou vous en étiez est un système de mot de passe qui vous renvoie au tout début du niveau du dernier stage arrivé. Personnellement c’est un choix judicieux et mieux qu’un système de sauvegarde qui lui en partie permet de finir trop vite un jeu en progressant par coup de sauvegarde à répétitions. Là, on reprend au début du niveau et c’est très bien comme ça, surtout pour la durée de vie. Les mots de passe sont représentés par 2 armes du jeu et 1 item, et accessoirement d’une case vide. De ce fait vous n’aurez plus qu’à remplir cette sorte de rubik’s cube avec le mot de passe donné en fin de partie.
Petite chose amusante, enfin si on veut, lorsqu’on sélectionne les items du mot de passe le son fait un bruit de battement de cœur. Morbide et stylé a la fois.

 

 

3. La carte et progression

Le jeu est découpé en 11 stages ou plus précisément 9 stages et 2 autres appelés a et b mais ceux-ci proposent malgré tout bien plus de challenge que les autres.
A chaque fin de stage on découvre sur la carte notre avancée indiquée par des pointillés et une chauve-souris montrant l’emplacement. La carte du 1er stage n’est pas vraiment indiquée en un sens, mais sur la carte pour aller au stage 2 on voit malgré tout le début du stage 1 tout en bas.

 

Progression stage par stage :

 

 

4. Début de l’aventure

L’intro :

On commence par une petite mise en scène nous expliquant le déroulement de l’histoire. Mais tout cela perdrait un peu de sa superbe sans une musique somptueuse. Et là Super Castlevania fait très fort avec un thème calme et très inquiétant et de toute beauté. Pas étonnant que cette musique soit reprise au moment de combattre le comte Dracula.

 

Entrer un nom :

Il reste encore le passage de la sélection d’un nom, utile seulement pour ceux qui veulent faire du scoring principalement.
Tout comme le mot de passe, lorsque vous sélectionnez vos lettres, un bruit de battement de cœur retentit à chaque fois.
PS: (scoring) j’ai connu l’existence de ce mot très récemment !

 

 

5. Le test

Un long parcours attend Simon.

 

Stage 1 : Les dépendances

Difficulté du stage :

Pour arriver jusqu’au château du comte Dracula il faut d’abord passer par les dépendances. Le départ se fait donc en premier lieu dans une sorte de petite cour avec comme fond musical un thème très discret et calme. Ce trajet ne durant que quelques secondes, on se retrouve sur un pont levis qui se referme derrière nous, nous obligeant donc a continuer l’aventure coûte que coûte. Ça tombe bien on est là pour ça. Sitôt passé, sitôt changement de décor et d’ambiance.
D’énorme grilles se mettent à prendre de l’ampleur comme si elles voulaient nous empêcher de partir. Mais le plus grand changement notable c’est bien entendu cette musique culte et mythique que l’on entend. Un thème magistral qui laisse inaugurer que du bon, et que l’on entend tout le long du niveau. Aussitôt les premiers ennemis apparaissent. Plutôt passifs, ils ne vous causeront que peu de difficulté. Au passage on peux remarquer que la sorte de lière sur les grilles est en mouvement constant, comme si c’était vivant. Ou c’est peut-être le vent tout simplement.
On arrive dans une sorte d’écurie ou ferme (dur à décrire) et là cela commence à bouger un poil. Les ennemis sont plus hargneux et lancent même des projectiles. Sans trop de difficulté on prend de la hauteur et on aperçoit un anneau, ce qui permettra à notre fouet de s’y agripper pour espérer passer des gouffres impossibles sans cela. Une excellente idée que ce système, sachant qu’en plus c’est très fluide et le maniement est impeccable.
La continuité du niveau se fera sans trop d’encombre. Méfiance tout de même à certaines formes de plantes bizarres se collant au plafond et tombant sur nous dès notre passage. C’est dans ce premier stage qu’on découvre des plate-formes tournantes. Le simple fait de marcher sur elles ne provoque rien du tout, mais en sautant dessus celles-ci se retournent en vous emportant au passage, ce qui conclut par une mort rapide. On y croise entre autres quelques têtes de méduses (ennemis bien connus et assez agaçants) mais celles-ci se montrent assez facile à éviter du fait de la simplicité et agencement du niveau.
Très rapidement on arrive au tout premier boss du jeu, Rowdain.

 

Image du stage 1 :

 

Ennemis du stage 1 :

 Squelette. Un des ennemis que l’on croise le plus. Il existe 3 versions de celui-ci. Un qui reste passif, un autre qui lance des os, et encore un autre qui saute. Pour le 2eme faites quand même attention car la portée de son os prend assez loin tout même. Mais dans l’ensemble il reste peu dangereux si l’on reste prudent.
Il est présent dans les stages :1, 2, 3, 4, 6, A et B.
Meurt en 1 coup.

 

Plante méduse. Très simple à tuer. Son seul et unique danger vient de quand elle est accrochée au plafond, et se prépare à tomber sur notre tête. Même comme cela il n’y a pas à s’inquiéter.
Elle est présente dans les stages : 1 et 3.
Meurt en 1 coup.

 

La méduse. Cet ennemi peut passer de assez simple à très difficile selon l’endroit en vigueur. Dans un couloir cela se passera assez bien si vous faites attention. Mais dans un niveau vertical ou carrément en mode 7, là ça se gâte méchamment. Donc prudence.
Elle est présente dans les stages : 1, 4, 8 et A.
Meurt en 1 coup.

 

Crâne squelette. Méfiez vous de lui car il envoie un groupe de 3 projectiles. Si vous lui faites face baissez vous et tuez le, ça passe facile. Ou vous pouvez tout aussi bien détruire ses tirs avec votre fouet. Si si, on peut le faire. Mais lors de certains sauts faites attention,on a tendance à oublier qu’il en envoie 3, et donc on se prend la dernière dans le corps. De plus c’est un ennemi très résistant.
Il est présent dans les stages : 1, 2, 3, 4, 5 et 8.
Meurt en 3 coups.

 

La chauve-souris. C’est l’ennemi le plus prolifique du jeu. Pas de Castlevania sans chauve-souris, c’est un fait. Alors disons que difficulté elle peut aller de facile à difficile. Les premières que l’on croise font leur petite ballade tranquille. Mais en avançant dans le jeu on croisera certaines d’entre elles qui fonceront directement sur nous. Et pas uniquement en ligne droite. Et pour couronner le tout vous en verrez aussi en groupe.
Elle est présente dans les stages : 1, 2, 3, 4, 5, 6, 9 et B.
Meurt en 1 coup.

 

Tête de cheval. Il est très rapide. Mais il agit uniquement lorsque vous êtes à sa portée. Si vous avez le fouet puissance 3, vous pouvez le tuer sans qu’il s’approche.
Il est présent dans le stage 1.
Meurt en 1 coup.

 

Bébé fantôme. Comme tout petit ennemi on s’attend à ce qu’il soit compliqué. En fait non, il est même très simple. Apparaissant dès notre approche, il avance tout doucement ce qui nous laisse largement le temps de l’avoir. Quasiment aucune crainte à avoir de lui.
Il est présent dans les stages : 1et 7.
Meurt en 2 coups.

 

Le cache-frappe. C’est un fourbe celui là. Il se planque en attendant votre venue et aussitôt qu’on se trouve à sa portée il nous assène un coup de bâton. Il peut être assez pénible à toucher car il faut surtout voir apparaître son corps et non uniquement sa main pour être sûr de le toucher. Donc quasi obligation de se rapprocher suffisament pour qu’il sorte de sa cachette.
Il est présent dans les stages : 1, 3, 4 et 7.
Meurt en 1 coup.

 

Boss : Rowdain

Le tout premier boss fait plutôt office d’échauffement que d’un véritable challenge. Vous n’aurez pas grand mal à le passer. Cependant il se peut que la 1ere fois vous vous fassiez toucher quand même. Il dispose de 2 formes, l’une sur sa monture et l’autre sans elle. A dos de son compagnon celui-ci peut vous envoyer des projectiles, et bien sûr tout contact avec lui se soldera par une perte de points de vie aussi. Sans son acolyte, Rowdain se déplace très lentement et est donc facilement atteignable sans se faire toucher. Il peut tout de même vous donner un coup d’épée si vous ne réagissez pas. De temps en temps Rowdain se disloque complètement et réapparaît en plongeant sur vous, pointe de l’épée en avant. Mais son attaque est facilement évitable aussi. Un boss très simple.

 

Stage 2 : Les marécages

Difficulté du stage :

Une sorte de cimetière marécageux vous y attend. Là les ennemis commencent à affluer et sont un peu plus agressifs. Les oiseaux, les grenouilles ou des sortes de gobelins feront partie de ceux qu’il faudra se méfier le plus, en raison surtout de leur petite taille et vitesse. La musique est de bonne facture et l’on ne s’en plaint pas.
Ensuite on quitte le temps d’un petit instant le cimetière pour arriver dans un petit endroit entièrement de terre. Pas bien long, vous finirez par arriver dans la partie la moins aceuillante, et innondée de boue.
Celle-ci grignotte vos points de vie, donc évitez d’y tomber. Si tel est le cas sortez y au plus vite. Il est vraiment conseillé de rester en hauteur dans cet endroit. Vers la fin du chemin vous atterrirez vers un pont qui vous mènera directement au boss.

 

Image du stage 2 :

 

Ennemis du stage 2 :

 La main zombie. Un ennemi qui ne vous fera perdre aucun point de vie à son contact mais qui en l’occurrence vous bloquera net ce qui aura comme conséquence d’être vulnérable aux ennemis se trouvant aux alentours.
Elle est présente dans les stages : 2 et 6.
Meurt en 1 coup.

 

L’araignée. Elle ne vous causera guère de soucis si vous attaquez en premier. La seule minime difficulté est que si vous la loupez elle vous envoie son bébé.
Elle est présente dans les stages : 2 et 8.
Meurt en 1 coup.

 

 Bébé araignée. Il est envoyé par sa chère maman dans le but de nous toucher bien entendu. Il arrive en diagonale. Mais si vous tuez la maman araignée aucun bébé n’interviendra.
Il est présent dans les stages : 2 et 8.
Meurt en 1 coup.

 

 L’homme plante. Il effectue des va et vient à vitesse moyenne sans interruption. Excepté qu’il néccessite 2 coups pour être tué, il ne sera pas d’une grande crainte pour vous.
Il est présent dans le stage : 2.
Meurt en 2 coups.

 

 Le gobelin. Faites attention à lui. Il est petit mais très rapide et effectue en même temps des aller-retour. Utilisez plutôt la technique de vous mettre accroupi et de le frapper que plutôt de sauter par dessus pour l’éviter.
Il est présent dans le stage : 2.
Meurt en 2 coups.

 

 Zombie. De vitesse très lente et pas résistant il peut pourtant vous causer des ennuis par le simple fait qu’il surgit du sol comme tout bon zombie ou mort vivant. On a tout de même le temps de le voir surgir en inspectant bien le sol et en avançant prudemment.
Il est présent dans le stage : 2.
Meurt en 1 coup.

 

 Plante vivante. Très similaire à la plante méduse au niveau de l’aspect physique, celle-ci est pourtant encore plus facile à tuer sachant qu’elle reste statique et toujours au sol. Allez, une très légère difficulté serait que si vous avançez sans regarder le sol vous pouvez la voir apparaître d’un coup et donc vous toucher.
Elle est présente dans les stages 2, 3 et 8.
Meurt en 1 coup.

 

 Le corbeau. En voilà un ennemi dont il faut se méfier. Il arrive à grande vitesse et revient à la charge exactement dans votre direction si il ne vous a pas touché.
Il est présent dans les stages : 2, 3 et 4.
Meurt en 1 coup.

 

 La grenouille. Alors là faites particulièrement attention à ce minuscule batracien. Comme je viens de dire, il est extrêmement petit, donc pénible à toucher mais surtout il effectue des bonds très rapide et allant sur une longue distance. Restez vraiment sur les plate-formes en hauteur pour éviter au maximum son attaque.
Elle est présente dans les stages 2 et 5.
Meurt en 1 coup.

 

 Le gargoyle. Il vole et fait demi-tour vers vous si vous ne l’avez pas touché. Pas vraiment grand chose à craindre de lui sauf lorsqu’il fait demi tour car sa vitesse est assez conséquente quand même.
Il est présent dans les stages 2 et 5.
Meurt en 1 coup.

 

Main voleuse. Elle ne vous causera aucun soucis niveau point de vie, mais en contre-partie si elle vous empoigne elle vous piquera vos coeurs qui permettent d’utiliser les armes.
Elle est présente dans les stages 2 et 5.
Meurt en 1 coup.

 

 Le squelette. Pareil que dans les autres stages.

 

 La chauve souris. pareil que dans les autres stages.

 

 Crâne squelette. Pareil que dans les autres stages.

 

Boss : Médusa

Vous pouvez l’enchaîner et la battre très rapidement si vous possédez le boomerang, surtout avec le double ou triple coup. Elle possède 2 attaques qui consistent à vous envoyer des méduses et une sorte de rayon en forme de cercle qui nous change en pierre durant quelques secondes. Si tel est le cas appuyez frénétiquement sur les boutons pour vous en délivrer. C’est surtout les méduses qui vous embêteront principalement car elles sont assez collantes, mais pas tellement dur à vaincre en contre-partie. A part ça vous ne devriez pas avoir grande difficulté à tuer Médusa.
Après l’avoir vaincue vous ne récoltez pas le cristal magique comme à chaque fin de stage après avoir tuer un boss. On enchaîne sur courant d’eau pour finalement conclure le stage.

 

Stage 3 : Les cavernes et la citée engloutie

Difficulté du stage :

Un parcours un peu plus difficile vous attend, enfin disons pour la citée engloutie. Mais dès le début on est pris par cette musique très douce et très calme qui donne un bel effet pour l’immersion. Ce petit périple débutant dans une caverne propose des ennemis lents, ce qui est en adéquation avec la musique. La seule difficulté rencontrée sera surtout lors de votre première visite lorsque vous passerez sous des stalactites qui ne manqueront pas de vous écraser. L’effet de surprise passé, vous saurez à l’avenir les éviter sans encombres logiquement.
Peu de temps après vous arrivez aux abords de la citée engloutie. Un peu d’escalade vous y attend. Au passage profitez des mini cascades au fil de votre montée. Faites attention à vos sauts, surtout le tout dernier en haut qui se joue au millimètre près.
La suite risque de vous poser problème et pas qu’un peu. Triton cracheur, dragon squelette, pierre qui se brise, j’en passe et des meilleurs. La musique aussi change complètement de registre dans un style plus accéléré. Plusieurs passages avec des anneaux vous obligent à jouer du fouet. Fun mais dangereux. Attention aussi à quelques passages au niveau des escaliers, car il est très facile de se faire toucher et donc de les traverser durant notre chute, et mourir finalement.

 

Image du stage 3 :

 

Ennemis du stage 3 :

 L’homme de pièrre. L’un des ennemis les plus long à abattre, du fait de son dédoublement, et aussi l’un des plus facile à éliminer, en raison de sa lenteur et passivité. Son originalité est qu’au lieu de mourir comme n’importe quel autre ennemi, il se décompose en 2 autres hommes de pierre mais de plus petite taille, et réitère cela encore 1 autre fois ensuite, et ce en de plus petite taille encore, jusqu’à disparaître totalement au 2 derniers coups.
Il est présent dans le stage : 3.
Meurt en 6 coups, voire 12 si on les prends en compte 1 par 1.

 Boule piquante. Cette sorte d’ennemi bizare est complètement invincible et insensible à la douleur. Elle tournoit tout autour d’une pierre ou d’une petite plate-forme. L’évitement est la seule chose à faire dans ce cas. Soyez rapide quand vous passez par dessus car elle arrive assez vite tout de même.
Elle est présente dans le stage 3.
Ne peut pas mourir.

 Le triton. Il surgit sans crier gare et se permet même de vous cracher dessus à longue distance et à grande vitesse. Il est conseillé de foncer lorsqu’ils arrivent pour éviter d’être touché par leur crachat. Il est vrai que le décor n’est pas vraiment propice pour une course avec ses autres ennemis et ses pierres qui se fissurent, mais c’est peut être pourtant la meilleure solution.
Il est présent dans le stage 3.
Meurt en 1 coup.

 Le dragon squelette. C’est l’ennemi le plus résistant de tout le bestiaire. Particulièrement agaçant à toucher du fait qu’il bouge constamment et que seul sa tête est tuable. Son attaque de base est un tir simple. Mais son allonge du à son coup très long lui confère une chance supplémentaire de vous toucher. Donc il faut se rapprocher assez près de lui pour espérer le toucher. A moins bien sûr d’utiliser des armes secondaires si vous en avez, et suffisament de coeur aussi bien entendu.
Il est présent dans les stages : 3, 8, 9 et A.
Meurt en 7 coups.

  L’oeil de sang. Durant son trajet complètement horizontal, il lache une goutte de sang toxique pour notre ami Simon. Celle-ci est facilement évitable mais l’oeil en lui-même est un poil plus dangereux. Surtout que si vous l’évitez et que vous ne le tuez pas rapidement, il effectue une attaque plongeante dans votre destination. Petite prudence donc.
il est dans les stages : 3 et 8.
Meurt en 2 coups.

 Le chevalier squelette. Un peu plus résistant que son homologue de base grâce à une armure. Il hérite en plus d’une épée ayant une assez bonne allonge. La position baissée plus coup de fouet sera la meilleure attaque contre lui. Attention cependant car on le retrouve quelques fois au bord du vide vous gênant le passage à votre atterissage. Méfiance.
Il est dans les stages : 3, 4, 5, 6, 9, A et B.
Meurt en 2 coups.

 Plante vivante. Pareil que dans les autres stages.

 Le corbeau. Pareil que dans les autres stages.

 La chauve souris. Pareil que dans les autres stages.

 Crâne squelette. Pareil que dans les autres stages.

 Le squelette. Pareil que dans les autres stages.

 Le cache-frappe. Pareil que dans les autres stages.

 

Boss : Vipères orphiques

Les vipères orphiques ne sont vraiment pas compliquées à battre. Déjà elles ne lancent leurs attaques que de temps en temps et deuxièmement vous pouvez facilement les éviter. Le plus dangereux au pire est peut-être de ne pas tomber dans l’eau tout à droite ou à gauche, dans lequel cas cela en serait fini pour vous. Vraiment, un boss plus impressionnant que dangereux.

 

 

Stage 4 : La tour de la mort

Difficulté du stage :

En voilà un stage vraiment très intéressant. Il est assez long et inclus 2 boss au lieu d’ 1, et est enrichit d’un mode 7 fabuleux et révolutionnaire pour l’année de sa sortie. . Sans oublier une difficulté plus poussée. Que du bon.
La tour est divisée en 4 petite zones. La 1ere nous ballade dans un lieu quasiment occupé par des squelettes plutôt hargneux. Mais la plus grosse difficulté sera ses petites plate-formes vertes (bouh la couleur) qui se retourneront aussitôt que vous sauterez dessus. Et il faudra être rapide, sinon c’est la chute et donc la mort directe. Le thème musical donne un coté assez inquiétant, et une fois de plus il est agréable à l’oreille. Le boss, une énorme tête de squelette attend au bout.
Juste après c’est là qu’on entre dans la toute première zone bluffante du jeu. Un passage en mode 7. Avançant dans une sorte de petite salle accompagnée de pleins de pics mortels, on découvre au centre de celle-ci un anneau pour fouet. Et c’est là qu’on découvre avec étonnement un énorme effet de distorsion. Lorsque l’effet s’arrête il faut vite lacher l’anneau pour atterrir sur une petite plate-forme. Au même moment entre en scène ces satanées têtes de méduse qui n’en finissent pas d’apparaître. Après les avoir éliminées ou esquivées (c’est au choix) l’effet de distorsion remet ça de plus belle, et il faut donc encore s’accrocher à l’anneau. Lorsque la salle se trouve complètement à l’envers de là ou vous êtes arrivé, des blocs de pierres se joignent pour former une longue plate-forme qui permet à Simon de sortir de cette salle mortelle.
Aussitôt entré dans la nouvelle petite zone on découvre avec grand étonnement et éblouissement que l’on est encore dans une zone avec le fabuleux mode 7. Et là c’est encore la claque car en plus l’effet est plus rapide. Mais attention car des squelettes tombent du plafond qui tourne. De plus le sol se dérobe sous nos pieds au fur et à mesure que l’on avance, donc évitez surtout de vous faire toucher par les ennemis, sinon il y a une bonne chance de chute dans le vide. Une zone très courte mais forte en émotions. La musique est très belle et va à vive allure.
La dernière zone ressemble à un labyrinthe de pierre. Il faut avancer prudemment, vite des fois, et trouver le bon chemin, sinon c’est l’écrasement et one shot direct. Plusieurs chemins sont possibles mais un seul est véritablement conseillé. On peut apercevoir plein de chandelles à droite ou à gauche et cela donne envie d’aller y faire un tour pour y découvrir ce qui se cache dedans et si des passages secrets s’y trouveraient. Mais bien sûr c’est plus un piège qu’autre chose. La meilleure chose à faire c’est d’aller constamment en haut par la droite. Ou alors, petite astuce, il suffit d’aller complètement à droite et passer par le petit chemin en tombant et on arrive au même chemin que si on on avait été au sommet, bizarre donc, mais bon. C’est le même thème musical que la zone d’avant, et cela renforce l’immersion sachant qu’on peut pas avancer bien vite. Un énorme golem de pierre vous attend au sommet.

Image du stage 4 :

 

Ennemis du stage 4 :

 Le squelette fou. Un ennemi plutôt comique quand on le voit gesticuler dans tous les sens. Pas grand chose à dire à part qu’il ne vous causera guère de difficulté. Il brasse de l’air et c’est tout, et n’a pas grande portée.
Il est présent dans les stages : 4 et 8.
Meurt en 2 coups.

 Monstruosité murale. Cette chose toute bizarre surgit de certains murs. Lorsqu’on ne connaît pas ses emplacements on a de grandes chances d’être touché. Mais lorsqu’on les connaît, il n’y a plus grand chose à craindre d’elle.
Elle est présente dans le stage : 4.

 Cache-frappe. Pareil que dans les autres stages.

 La méduse. Pareil que dans les autres stages.

 Le corbeau. Pareil que dans les autres stages.

 Le squelette. Pareil que dans les autres stages.

 Le chevalier squelette. pareil que dans les autre stages.

 La chauve souris. Pareil que dans les autres stages.

 Crâne squelette. Pareil que dans les autres stages.

 

Boss : Puwexil

Puwexil fait office de 1er boss dans la tour. Avec lui on ressent les premières difficultés réelles pour un boss. Déjà il faut dire qu’il prend assez de place, et contrairement aux vipères orphiques lui il se déplace partout, et est donc très gênant. Il possède 2 attaques différentes et une 3eme mais qui n’en est pas vraiment une. La 1ere c’est son énorme langue. Celle-ci peut être particulièrement gênante à cause de sa longueur et donc de sa grande portée. Il vaut mieux rester au sol quand il la sort. Sa seconde attaque consiste à nous balancer une sorte de déchet toxique en forme de 3 grosses boules. Elles sont assez facile à éviter mais Puwexil en profite aussi pour combiner cette attaque avec la 1ere, donc méfiance. Et la 3eme attaque qui n’en est pas exactement une comme je l’avais dit c’est qu’en fait le plafond laisse tomber des morceaux de pierre (je vois pas trop ce que c’est en fait exactement) sur Simon à chaque fois que l’on touche Puwexil. Ce piège (obligatoire) fait sûrement partie du moment le plus dur contre ce boss. Un bon moyen pour le battre facilement et rapidement consiste à rester juste en dessous de lui et le frapper avec le fouet constamment. Les morceaux qui tombent du plafond ne seront pas un soucis car on peut les briser avec le fouet de toute manière. En tout cas c’est un boss très glauque qui colle parfaitement à l’ambiance du titre.

 

Boss : Koranot

Koranot est un énorme golem de pierre qui va vous donner à peu près la même difficulté que Puwexil, le boss d’avant. Il possède seulement 1 attaque qui se compose d’un lancer de pierre envoyé par lui même. La pierre est assez facilement évitable mais la taille imposante du golem complique un peu la chose. Surtout quand arrive le même genre de problème qu’avec puwexil, c’est à dire que le plafond s’effrite et laisse tomber des blocs de pierre. Mais ceux ci ne tombe pas quand on touche le boss, mais seulement au hasard. Et les éviter n’est pas toujours facile car il faut avoir l’œil. Mais bon, à force on prend l’habitude. 2 petites plate-formes bougeant de haut en bas se joignent au combat. Personnellement je pense qu’il n’est pas conseillé de monter dessus, car cela nous rend la tâche encore plus ardue au moment de la chute de pierre arrivant sur le coup trop vite. Un bel effet du mode 7 fera son apparition au moment de la mort du golem.

 

 

Stage 5 : L’entrée du château
Difficulté du stage :

Bon, pas grand chose à dire sur ce stage qui est tout simplement le plus court de tout le jeu et l’un des plus faciles. Quasi aucune difficulté ne vous attend et on le fini très rapidement. Seules quelques gargoyles peuvent au pire vous toucher, mais il n’y a pas tellement de crainte à avoir autrement. On a même pas un petit boss à se mettre sous la dent. Disons que ce stage permet de respirer un peu par rapport à ce qui vous attend juste après.

Image du stage 5 :

 

Ennemis du stage 5 :

 La harpie. Se balladant horizontalement et s’arrêtant systématiquement devant nous, sa seule difficulté c’est lorsqu’elle jette le gremlin. A part ça, rien à craindre d’elle, car facile à éviter et à toucher.
Elle est présente dans le stage : 5.
Meurt en 1 coup.

 Le gremlins. Lancé par par l’harpie, celui-ci est éjecté et bondit sur vous comme un lapin. Pareil, pas grande difficulté pour le tuer. Sachant qu’en plus on aura déjà eu largement le temps de tuer l’harpie, donc aucune inquiétude à avoir.
Il est présent dans le stage : 5.
Meurt en 1 coup.

La chauve-souris. Pareil que dans les autres stages.

Crâne squelette. Pareil que dans les autre stages.

Chevalier squelette. Pareil que dans les autres stages.

 La main zombie. Pareil que dans les autres stages.

La gargoyle. Pareil que dans les autres stages.

 La grenouille. Pareil que dans les autres stages.

 

 

Stage 6 : Le hall

Difficulté du stage :

On sent nettement la différence à partir de ce stage là. Le niveau est très long et surtout il se classe comme l’un des 2 stages les plus durs du jeu, en compétition avec le stage 8 (quoique celui-ci soit encore un poil plus dur). En outre on notera un autre passage en mode 7 magnifique avec des chandeliers gigantesques.
Dès notre arrivée on est accueilli par une multitude d’ennemis reposant à tout va si on a le malheur de revenir trop en arrière. Il est vraiment conseillé de tuer tout les ennemis dans le stage durant votre avancé sinon c’est la surpopulation assurée. Passé cette zone accueillante on atteint avec joie (trop bien fait) et difficulté la zone des chandeliers en mode 7. C’est clairement impressionnant, surtout en se rappelant l’effet que cela nous a procuré lors de la sortie du jeu. Il faut sauter de chandelier en chandelier (il y en a 4) qui se composent de 4 petites plate-formes sur ceux ci. Et sérieusement les premières fois c’est pas si évident que ça car il faut sauter au bon moment. La meilleure solution consiste à sauter quand le chandelier vient vers nous.
La zone qui suit est peut être la plus compliquée de ce stage. Un attroupement d’ennemis assez rapide vont nous rendre la vie impossible. Ectoplasmes et majordomes sont de simples exemples d’ennemis très contraignants et agaçants. Petit défaut pour ce stage concernant les graphismes. Pour ma part je trouve que c’est le stage le moins beau du jeu. Ils ne sont pas moches du tout,mais ce sont les moins bien voilà, enfin ce n’est que mon avis bien entendu. Et puis cette couleur verte surtout pas très bien en osmose avec ses escaliers et sols. Mais bon je chipote, n’oublions pas que nous somme sur l’un des premiers jeux de la console. Mais cette zone recèle pourtant un passage secret fort intéressant mais un peu triste, snif ! Les zones suivantes sont envahies de squelettes divers et font apparaître pour la première fois dans le jeu des squelettes de sang qui ont la particularité d’être immortels, tel que le chien zombie d’ailleurs. Continuez à monter et vous arriverez au boss.
N’oublions pas bien entendu la belle musique du stage qui nous accompagne tout le long.

 

Image du stage 6 :

 

Ennemis du stage 6 :

 Cruela. Assez facile à avoir, elle fonce sur nous à vitesse normale. Rien de bien compliqué en somme.
Elle est présente dans le stage : 6.
Meurt en 1 coup.

 Le chien zombie. Particulièrement rapide, il a la particularité d’être immortel et de vous faire perdre 4 points de vie, ce qui en fait avec le squelette de sang les 2 ennemis faisant perdre le plus de vie. Un seul coup est nécessaire pour le tuer (temporairement) jusqu’à ce qu’il se réveille et refonce sur nous. Son cri d’agonie lorsqu’on l’attaque nous ferait presque pitié, snif !
Il est présent dans le stage : 6.
Ne peut pas mourir définitivement. Mais peut mourir temporairement en 1 seul coup.

 L’armure hache. Celui-là viendra nous causer du tord bien souvent durant le jeu. Très énervant avec ses haches qui arrivent vers nous en bas ou en haut et qui font demi-tour comme un boomerang pour mieux nous toucher une 2eme fois. Il est en plus assez résistant, donc un ennemi qu’il faut prendre au sérieux.
Il est présent dans les stages : 6, 7, 8 et A.
Meurt en 4 coups.

 L’ectoplasme. Le plus gênant chez lui c’est qu’il est un peu difficile à toucher du fait qu’il se déplace partout allant de du sol au plafond et rebondissant sur eux. En prenant son temps on y arrive sans trop de mal, mais accompagné de divers ennemis cela devient plus dur quand même.
Il est présent dans le stage : 6.
Meurt en 3 coups.

 Le majordome. Sûrement l’ennemi le plus rapide du jeu, donc forcément très agaçant. Il arrive sur nous à très grande vitesse seul ou accompagné d’un autre majordome. Il peut en plus foncer sur nous et au dernier moment disparaître pour réapparaître aussitôt devant nous ou en hauteur. Un ennemi fort énervant.
Il est présent dans le stage : 6.
Meurt en 1 coup.

 Le squelette de sang. Tout comme le squelette de base il n’opposera presque aucune difficulté. Mais son atout c’est qu’il est immortel, tout comme le chien zombie. Donc quand vous le tuez, passez vite votre chemin et n’attendez pas à ses pieds.
Il est présent dans les stages : 6, 7 et A.
Ne peut pas mourir définitivement. Mais peut mourir temporairement en 1 seul coup.

 Le vieil homme. Un cas à part celui là. Ce n’est pas vraiment un ennemi en soi, car il ne nous veut aucun mal. Seul son fidèle chien zombie peut nous causer des dommages. Pour plus de renseignement sur lui faites un tour dans l’intitulé ” les passages secret”.

 L’attrape-nigot. Cette équipe composé d’un squelette armure et d’une main fantôme est en fait un piège. A première vue on ne peut pas les toucher, mais aussitôt pris dans les mains, le squelette se matérialise et nous assène un coup d’épée. La solution, se baisser au même moment et frapper le squelette. De ce fait il sera facile de les avoir dorénavant.
L’autre solution consiste tout simplement à sauter par dessus la main et du coup le squelette armure ne fera rien. Facile.
Ils sont présent dans le stage : 6.
Meurt en 1 coup.

 La table mouvante. Secondée par une chaise, la table vous surprendra seulement les premières fois. Ensuite il ne vous faudra plus que la frapper à bonne distance et le tour est joué.
Elle est présente dans le stage : 6.
Meurt en 2 coups.

 Fantômes danseurs. Ils dansent sans cesse en faisant des allées et venues dans toute la salle. Un peu irritant à toucher donc. Mais bon, pas de grande difficulté pour autant.
Ils sont dans le stage : 6.
Meurt en 2 coups.

 Cercueil tournis. On le croise une fois en compagnie de pleins d’autres cercueils tournant sans cesse en faisant une sorte cercle. Cela ressemble plus à un spectacle qu’autre chose car ils ne nous attaquent pas. Détruisez les et passez votre chemin.
Il est présent dans les stages : 6 et 9.
Meurt en 2 coups.

La chauve souris. Pareil que dans les autres stages.

Le chevalier squelette. Pareil que dans les autres stages.

 Le squelette. Pareil que dans les autres stages.

Main zombie. Pareil que dans les autres stages.

 

Les spectres dansants

Ce couple de danseurs n’est pas si simple. Le fait est que les 4 plate-formes nous gênent dans nos mouvements et que le couple danse partout dans la salle n’aide en rien notre mobilité qui devient très réduite donc. Bien sûr ces même plate-formes serviront à esquiver le boss au bon moment. L’attaque de base, si l’on peut qualifier cela d’attaque, c’est leur danse, qu’il faut éviter. Pour leur deuxième attaque ils nous lancent des sortes d’épées par groupe de 3. En restant à bonne distance on peut les éviter assez facilement. Leur troisième attaque consiste à un coup d’épée du couple. Un coup en haut du mari et un coup en avant pour la femme. En restant à bonne distance cela devrait passer, mais méfiance tout de même. Malgré tout leur danse reste à priori leur attaque (en un sens) la plus compliquée à esquiver. Ce qui est bien c’est qu’on peut les enchaîner assez vite si l’on est équipé du boomerang. Bien sûr si vous avez le double coup ou triple coup là c’est le bonheur total.

 

 

Stage 7 : La bibliothèque

Difficulté du stage :

La musique du stage est en adéquation avec celui ci, tout doucement. On note une musique douce et assez lente mais tellement agréable à l’oreille aussi. Un grand nombre d’escaliers nous fait avancer progressivement et à petite allure tandis que nous sommes submergés par des armures hache dans tout les coins, sans oublier bien sûr d’autres ennemis qui ne font pas que de la figuration. Le stage est moins difficile que celui d’avant mais la difficulté est quand même bien présente. Au début on se trouve clairement dans une vaste bibliothèque avec d’innombrables livres, qui pour certains ne resteront pas dans les étagères sans bouger. Plus on avance et plus le décor devient lugubre et moins accueillant. Le grand nombre d’escaliers comme précédemment cité augmente la difficulté par le fait que dessus aucune action de saut est faisable et il faudra faire attention aux ennemis se trouvant très proche. Une grosse armure faisant office de boss vous attend.

Image du stage 7 :

 

Ennemis du stage 7 :

 Livre agité. Il va falloir faire preuve d’agilité pour esquiver les livres. C’est tout simplement l’ennemi le plus rapide du jeu. Se trouvant sous Simon à chaque fois, il faut soit le frapper au moment qu’il fonce sur nous, soit l’esquiver. Il est possible aussi de laisser tomber notre fouet le long de notre corps pour espérer toucher le livre et ainsi le tuer à l’usure, mais faites vite si vous souhaitez utiliser cette solution.
Il est présent dans le stage : 7.
Meurt en 1 coup.

 Cache misère. On ne peut pas dire qu’il soit vraiment invincible car tout simplement on ne peut pas le toucher car il est planqué sous un long tapis. Donc la seule solution est de se baisser dès son approche, et voilà, le tour est joué. Facile non !
Il est présent dans le stage : 7.
Ne peut pas mourir car on ne peut pas le toucher.

 Portrait maléfique. Un tableau très vicieux car à première vue on penserait qu’il fait parti du décor et donc qu’il serait inoffensif. Et bien ce n’est pas le cas. Mais pour autant vous ne perdrez pas de points de vie à son contact car celui-ci vous agrippe si vous passez devant, ce qui permet en autre à divers ennemis de vous toucher plus facilement pendant ce temps là. Un coup de fouet sur la main dépassant du tableau et le tour est joué. Petit détail amusant, regardez bien la tête du portait lorsqu’on a tué sa main, son visage change.
Il est présent dans le stage : 7.
Meurt en 1 coup.

 Chien de l’enfer. Assez différent du chien zombie, il reste en plus un adversaire très peu inquiétant du fait qu’on le trouve qu’à des endroits en hauteur et que de cette façon il est facile de le tuer. Il est moins rapide que le chien zombie mais peut sauter assez haut et a la particularité très amusante (enfin si on veut) de faire tomber toutes les chandelles qu’il croise s’il bondit dessus.
Il est présent dans le stage : 7.
Meurt en 2 coups.

 Le gardien volant. Cet ennemi n’est pas bien difficile à éviter mais sachant qu’il arrive dans une zone avec plein d’escaliers, cela corse un tout petit peu le tout. Pour le tuer, c’est encore un peu plus complexe car il bouge sans arrêt de haut en bas en allant de droite à gauche. Pas de quoi s’alarmer quand même.
Il est présent dans le stage : 7.
Meurt en 2 coups.

 Le chevalier. Disposant d’une grosse armure tel que l’armure hache, sa résistance est donc équivalente. Mais son attaque est beaucoup moins dangereuse en l’occurence. Effectuant des va et vient à petite vitesse, il effectuera avec sa lance une attaque pointant vers le haut si vous avez le malheur de vous trouver au dessus de lui. Excepté ça, rien d’autre. Vous aurez largement le temps de le détruire.
Il est présent dans le stage : 7.
Meurt en 4 coups.

 Le ver de flamme. Un ennemi extrêmement rare étant donné qu’on le croise qu’une seule et unique fois durant tout le jeu. C’est assurément aussi l’ennemi le plus compliqué à tuer car il est sans cesse en mouvement saccadé et rapide. Mais le plus simple c’est de tout simplement attendre sans bouger qu’il file son chemin (par le haut de l’ecran) ou alors que vous filez votre chemin en passant vite par dessus. Le combattre est donc presque inutile car il est tellement plus simple d’éviter l’affrontement et du coup de s’en sortir indemne.
Il est présent dans le stage : 7.
Meurt en 6 coups.

 La statue de pierre. Cette statue se détruira d’elle même aussitôt que vous vous approcherez d’elle. Sa boule vous tombera dessus si vous ne l’esquivez pas à temps. Elle est présente dans le stage 7.
Ne peut pas mourir car indestructible. Mais peut se détruire elle même dés votre approche.

 L’armure hache. Pareil que dans les autres stages.

 Bébé fantôme. Pareil que dans les autres stages.

 Squelette de sang. Pareil que dans les autres stages.

 Cache-frappe. pareil que dans les autres stages.

 

Boss : Seigneur Grakul

Ce grand gardien ne vous posera pas tellement de soucis. En le bourrinant presque bêtement on arrive à lui enlever un peu plus que la moitié de sa vie, alors en y allant intelligemment c’est assez simple. Malgré tout, il faut quand même faire un peu attention à ses attaques, car aussitôt que l’on est bloqué dans le coin avec lui, ça devient plus chaud là. L’une de ses attaques consiste à un coup de hache sur le sol envoyant pour le coup des petites flammes arrivant jusqu’à nous. C’est relativement assez facile à éviter. Il se sert encore de sa hache pour son autre attaque mais cette fois çi il nous l’envoie en pleine figure et de loin. Celle-ci arrivant à pleine vitesse, il n’est pas facile de l’éviter, donc méfiance pour ce coup là. Si Seigneur Grakul arrive en fin de vie, sa hache se brisera et il sortira une épée qui lui servira comme dernière attaque. Elle se compose d’un simple coup d’épée en avant, c’est tout, facilement évitable. En prenant vos distances et en esquivant simplement ce boss ne sera qu’une simple formalité.

 

 

Stage 8 : La salle des tortures

Difficulté du stage :

Ce stage est un vrai calvaire. Énormément de piques nous tuant en 1 coup, de l’acide en veux tu en voilà, des dalles invisibles, des lances qui tombent du plafond, sans parler des ennemis, et j’en passe.
Évidemment la musique se veut glauque à souhait et convient parfaitement au stage tout en étant agréable à écouter.
La première zone se constitue d’une avancée tout en ligne droite mais réclamant adresse et patience pour éviter de se faire écraser par des plate-formes mouvantes jonchées de pics. L’acide (enfin pour notre version censuré) sera de la partie à de nombreuses reprises et chaque contact avec un ennemi peut nous faire basculer dedans, ce qui entraîne de l’usure au niveau de nos points de vie. L’œil de sang sera l’ennemi qui nous causera le plus de soucis car arrivant à chaque fois au mauvais moment. La zone suivante nous amène comme compagnie encore des plate-formes mouvantes avec pics en bonus, ainsi que des sortes de lances qui ne manqueront pas de tomber du plafond aussitôt passé en dessous. Bien sûr les ennemis ne manquent pas à l’appel. Un petit pont de pierre fera office de passage avant la zone suivante, mais aura la désagréable habitude de se détruire sous nos pas. De l’acide sera généreusement placé juste en dessous, quoi de plus normal. Ensuite on passe dans une salle remplie d’escaliers et dont la seule issue et d’aller tout en bas, en faisant bien attention de ne pas se faire toucher par (encore) ces plate-formes mouvantes et piquantes et de ses satanées têtes de méduses qui reviennent en force. En connaissant bien les zones lorsqu’il y a des escaliers, vous utiliserez la technique pour traverser les escaliers en sautant dessus, mais attention à ce qu’il y a en dessous bien entendu. La dernière zone est une fois de plus garnie d’un peu de tout ce que vous avez vu dans les zones suivante. Mais juste avant le boss, un petit passage bien énervant vous bloquera le chemin. En fait j’hésitais à dire deux, mais finalement le premier est tellement simple quand on connait la combine. On arrive devant tout pleins de pics énormes qui se lèvent et qui s’abaissent mutuellement. En fait la solution hyper simple consiste à tout simplement avancer en accroupi et c’est gagné. Pour les plus téméraires il est possible de passer debout mais il faut avancer aussitôt que le premier pic se lève, et ensuite on suit le rythme des autres qui font de même. Bon c’est assez risqué quand même. Nous arrivons donc devant le tout petit pont qui nous bloque le passage pour arriver au boss. Les plate-formes disparaissent et réapparaissent un peu au hasard j’ai envie de dire. Donc en sautant dessus il faut bien voir quand elles commencent à clignoter (ce qui indique qu’elles vont disparaître) et aussitôt sauter sur une autre plate-forme, jusqu’à arriver finalement au chef de ce stage.
Seule toute petite déception concernant ce stage, on remarque que l’on a aucun nouvel ennemi mais uniquement ceux des anciens niveaux.

 

Image du stage 8 :

 

Ennemis du stage 8 :

 L’araignée et bébé araignée. Pareil que dans les autres stages.

 L’armure hache. Pareil que dans les autres stages.

 Crâne squelette. Pareil que dans les autres stages.

 L’œil de sang. Pareil que dans les autres stages.

 Le squelette fou. Pareil que dans les autres stages.

 La méduse. Pareil que dans les autres stages.

 Le dragon squelette. Pareil que dans les autres stages.

 La plante vivante. Pareil que dans les autres stages.

 

Boss : Frankenstein

Ce boss bien connu de tous sera tout simplement aussi facile que le Seigneur Grakul, voire presque plus simple encore. Je dois avouer que la première fois que j’ai réussi à atteindre ce boss, je m’attendais à quelque chose de coriace. Bon tant pis. Son attaque de base c’est un lancer de fiole qui lui permet de créer son double. Si vous êtes en hauteur vous ne craignez rien, il suffit juste de bourriner et c’est dans la poche. De plus son double avance à vitesse de crapaud tout comme Frankenstein lui-même. Sa deuxième attaque consiste à un autre lancer de fiole mais celui-ci envoie des petites boules blanches pas tellement évidentes à esquiver. Mais sachant qu’il effectue cette attaque là rarement, on ne craint quasiment rien de lui. Si vous restez à bonne distance et en hauteur et bourriner comme il faut, il en devient presque aussi facile que le tout premier boss du jeu, c’est dire. Petit détail, son double disparaît au bout d’un moment si vous ne l’avez pas tué.

 

 

Stage 9 : La salle aux trésors
Difficulté du stage :

Ce qu’on remarque en premier dès qu’on débute la zone c’est que ça brille de partout. Un stage fort joli qui change catégoriquement de celui d’avant. Bien que moins difficile aussi il n’en reste pas moins qu’il faudra faire attention quand même car quelques moments assez prise de tête feront leur apparition. La toute première zone n’a strictement rien de compliqué, tout comme la deuxième d’ailleurs. Ceux-ci comportent simplement des squelettes d’or et chauve souris qui feront leur travail morbide comme à l’accoutumée. On s’en sort assez bien logiquement. Mais la zone d’après risque de vous énerver, et tout simplement à cause de squelettes et chauve souris particulièrement bien placés en bout de piste ne demandant rien de mieux que de vous faire tomber dans le vide. Et ça fonctionne bien malheureusement. Le meilleur choix pour éviter ça est de soit lancer une arme secondaire juste avant d’arriver pour grignoter la barre de vie des ennemis et pour ensuite le finir en un coup de fouet, mais honnêtement c’est pas évident. Ou seconde méthode tout simplement foncer à droite dès qu’on pose un pied sur le bord (ce qui inclu une chance de se faire toucher) et de cette façon éviter d’être éjecté en arrière dans le vide. N’oublions pas la musique très énergique qui donnerait presque du punch. Mais ce qui donne un coup au moral mais positivement c’est bien le fait que ce stage regorge de sacs d’argents à foison. Idéal pour gagner quelques vies.
Les deux zones suivantes n’ont rien de vraiment très compliqué. Seuls quelques dragons squelette peuvent vous faire du tord. Ensuite vient un piège formé par plein de petites pierres formant 3 barrières permettant à Simon de monter dessus et ainsi de pouvoir passer. Les pierres sont destructibles uniquement lorsqu’elles tombent, car dès que celles-ci sont posées l’une sur l’autre elles sont indestructibles. La solution c’est de sauter dès que 2 hauteurs de pierres sont faites et filer sur les autres à toute vitesse. Arrivant au bout du chemin on grimpe les escaliers et on arrive dans une zone à étages. La grimpette se fait normalement en utilisant aussi les anneaux pour fouet permettant l’ascension. Rien de compliqué. Le boss n’est plus très loin. La musique du stage est tout simplement excellente. Cela donne un style maison hanté de fort qualité.

Image du stage 9 :

 

Ennemis du stage 9 :

 Squelette d’or. Possédant les même attaques que le squelette de base et doté d’une couleur or, il est néanmoins plus résistant.
Il est présent dans le stage : 9.
Meurt en 2 coups.

 Aspira. Une sorte de plante qui ressemble étrangement à des mains de couleur bleue, nous amène à elle en nous aspirant dès que l’on se trouve à côté d’elle. On ne perd aucun points de vie à son encontre mais toutefois cela peut être gênant si un ennemi s’approche ou nous envoie des projectiles ou autres, car bloquer ainsi nous sommes plus vulnérables. Mais il faut bien avouer que cela est plus gênant qu’autre chose. De 3 à 4 secondes est le temps que l’on reste bloqué à son contact.
Elle est présente dans le stage : 9.
Ne peut pas mourir car intouchable.

 Squelette fouettard d’or. Ressemblant comme deux gouttes d’eau au squelette d’or, celui-ci possède un fouet. Se baisser et 2 coups de fouets auront raison de lui très facilement.
Il est présent dans le stage : 9.
Meurt en 2 coups.

 Cercueil tremblant. Quasiment identique au cercueil du stage 6, celui-ci travaille en solo et tremble de tout son bois. On ne peut pas le toucher tant qu’il ne nous a pas attaqué, ce qu’il fait de façon très lâche car il attend que l’on passe devant lui pour nous attaquer dans le dos. Mais pas d’inquiétude car il suffit de passer devant et sauter une petite marche ou autre et il restera bloqué devant, ce qui vous permettra de le détruire très facilement. Un ennemi plus décoratif qu’autre chose.
Il est présent dans le stage : 9.
Meurt en 2 coup.

 Chauve souris. Pareil que dans les autre stages.

 Le chevalier squelette. Pareil que dans les autres stages.

 Le dragon squelette. Pareil que dans les autres stages.

 

Boss : Chauve souris Zapf

Ce boss possède 2 formes. La première, en gigantesque chauve souris, et la seconde en 3 petites chauve-souris. La première forme ne vous causera pas d’ennuis si vous utilisez la technique qu’il faut. Il faut tout simplement se mettre sous elle et frapper avec votre fouet constamment, en restant bien en dessous. Car si vous partez un peu à droite ou à gauche vous recevrez des éclats d’or de sa part, qui interviennent uniquement quand vous la frappez. Au bout d’un moment elle tombera en piquet vers Simon de là où il se trouve. Il suffit simplement de sa baisser pour l’esquiver mais la vitesse à laquelle elle arrive peut être un inconvénient pour vous. Il est donc conseillé de la frapper 4 ou 5 fois et de suite partir à l’opposé d’elle ce qui vous permettra d’esquiver en ayant le temps de la voir venir. Dès que sa barre de vie descend un poil en dessous de la moitié, elle se transforme en 3 petites chauve-souris, et c’est là que cela se corse. On peut toujours rester en dessous pour les frapper, mais maintenant celles-ci vous envoient des petites boules tombant instantanément sur nous. Donc il est conseillé de les tuer en frappant au loin mais tout en esquivant aussi les éclats d’or. Elles peuvent très bien lancer une petite boule toute les 3 quasiment en même temps, donc l’esquive sera primordiale.

 

 

Stage A : La tour de l’horloge
Difficulté du stage :

Se rapprochant du stage de la tour de la mort au niveau de l’ascension, la tour de l’horloge est un peu plus compliquée quand même. Beaucoup plus d’anneaux pour le fouet sont présents, et surotut beaucoup plus d’ennemis aussi. Méduses et armure hache seront à l’honneur pour notre malheur durant l’escalade à coup d’anneau pour fouet.Le thème musical est encore très bon, rien à reprocher de ce coté là.
A deux reprises de gros engrenages viendront nous dire bonjour à leur façon. Il est quasiment sûr que la grande majorité des joueuses et joueurs se feront avoir la première fois car ils dégringolent tellement vite qu’on a pas le temps de réfléchir à quoi faire. A un moment on a encore droit à un coup vicieux d’un chevalier squelette nous attendant en bout de piste pour nous porter un coup d’épée qui sera fatal en cas de réussite. En vous balançant avec votre fouet grâce à l’anneau, il faudra s’éjecter sur la plate-forme et se baisser directement pour ainsi tuer le chevalier squelette sans encombre. La suite du reste du stage se compose d’une montée faisable avec la combinaison fouet plus anneau et esquive à outrance auprès des ennemis. Et la difficulté réside beaucoup dans cela, car en étant touché pendant qu’on se balance avec le fouet on est tout simplement éjecté, et si aucune plate-forme ne se trouve en dessous et bien c’est la mort assurée. Le boss vous attend au sommet, sur les aiguilles de l’horloge. Même petite déception que pour le stage 8, aucun nouvel ennemi dans ce stage.

Image du stage A :

 

Ennemis du stage A :

 L’armure hache. Pareil que dans les autres stages.

 Squelette de sang. Pareil que dans les autres stages.

 Chevalier squelette. Pareil que dans les autres stages.

 Squelette fouetard d’or. Pareil que dans les autres stages.

 La méduse. Pareil que dans les autres stages.

 Dragon squelette. Pareil que dans les autres stages.

 Le squelette. Pareil que dans les autres stages.

 Squelette fouetard. Pareil que dans les autres stages.

 

Boss : La momie

La momie reste un boss relativement assez facile quand même. Cela est dû au fait que ses attaques ont vraiment du mal à nous toucher et qu’il est possible en étant bien placé de ne pas rentrer en contact avec ses projectiles divers. Sa première attaque est un lancer de plein de boules de feu. Comme je l’ai dit, en restant à une certaine distance on se fait rarement toucher. Sa deuxième attaque est un poil plus dangereuse. Il envoie des sortes de bandelettes (sûrement ce qui compose son corps) qui ont une plus grande ampleur que les boules de feu, qui elle partaient plutôt majoritairement vers le haut. Bandelettes et boules de feu sont destructibles par notre fouet. Méfiez vous tout de même du vide sous les plate-formes. Un faux pas est vite arrivé.

 

 

Stage B : Le donjon
Difficulté du stage :

Nous voilà arrivés au tout dernier stage du jeu. La première partie sera un peu difficile, mais la suite sera vraiment corsée lorsqu’on arrivera aux boss, surtout concernant les 2 derniers, aie aie aie !!
La première zone nous fait découvrir une nouvelle race de squelette très rapide qu’il va falloir tuer ou esquiver pour arriver tout en bas. Ensuite on arrive à un pont qui se détruit et qui forme des chauve souris au fur et à mesure que Simon avance. Pas de difficulté particulière pour l’instant.
Maintenant on arrive dans la dernière zone, et ce qu’on peut dire c’est qu’on va en baver. Il faut accéder au sommet pour entrer dans l’antre de la salle des boss, mais pour y arriver, il va falloir monter très très vite et bien en plus. Les 2 choses qu’on remarque dès le début de cette nouvelle zone c’est que dès le départ une sorte de scie circulaire géante se met à monter en même temps que nous, ce qui fait qu’on doit monter sans s’arrêter et à toute allure. La deuxième chose c’est tout simplement la musique. Personnellement c’est celle que je préfère, à égalité avec celle du tout premier stage. Le thème est dynamique et vraiment très entraînant. Cela s’ accentue aussi en sachant que l’on doit se dépêcher de grimper.
De mémoire je me rappelle que des ami(e)s à moi galéraient dans les escaliers car ils tombaient ou les traversaient subitement d’un coup. C’était pareil pour moi personnellement. En fait il faut bien garder la croix directionnelle vers le haut. Arrivé à mi-parcours on voit apparaître plein de plate-formes mouvantes allant vers le haut. Il faut sauter adroitement et avec précision dessus sinon c’est l’empalement direct sur des pics. Le tout dernier passage avec ces mêmes plate-formes mouvantes est un peu plus compliqué car il faudra sauter l’une d’elle, ensuite sauter sur l’autre et ensuite simplement marcher pour atterrir sur les autres à suivre, tout cela pour éviter de se faire empaler de nouveau. Si tout s’est bien passé, vous voilà arrivé au dernier stade du jeu, l’antre des boss. Dès ce moment une musique vraiment magnifique et mettant pleinement dans l’ambiance nous annonce la couleur. 3 gardiens s’enchaîneront pour finalement arriver au comte Dracula. C’est ce que j’appelle un final de dingue.

Image du stage B :

 

Ennemis du stage B :

 Le pourfendeur. Il va falloir faire très attention à lui car il est extrêmement rapide. Il effectue un coup de sabre dés que Simon se trouve à sa portée. La seule solution pour l’esquiver est de se baisser aussitôt et contre-attaquer par des coups de fouet. Soyez vigilant car même si vous sautez deriière lui il se retourne directement et très rapidement, donc mettez vous à genoux systématiquement.
Il est présent dans le stage : A.
Meurt en 2 coups.

 Le colosse de pierre. Un ennemi pas difficile du tout, mais plutôt plus pénalisant qu’autre chose, sachant que les 2 fois que on le croise il sera là uniquement pour nous faire perdre du temps, faisant finalement rapprocher la scie circulaire de nous.
Il est présent dans le stage : B.
Meurt en 3 coups.

 La chauve souris. Pareil que dans les autres stages.

 Le chevalier squelette. Pareil que dans les autres stages.

 

Boss : Slogra

Cette sorte d’énorme squelette doté d’un bec est difficile à partir de sa deuxième forme. Sous sa première, il suffit simplement de se baisser pour éviter son attaque qui envoie des boules de feu grâce à sa lance. Aussitôt baissé, il suffit de lui déloger un coup de fouet et Slogra sera catapulté à plusieurs mètres de hauteur pour de suite redescendre et vous asséner un coup de lance dès qu’il touchera terre, et cela très rapidement. Donc à chaque fois qu’il revient vers nous il faut juste rester baissé et réitérer les coups de fouet, de cette façon il ne pourra pas vous toucher. Là où cela va se compliquer est que dès qu’il aura perdu la moitié de sa barre de vie , sa lance se brisera et sa nouvelle arme sera tout simplement son bec. Il faut continuer la même technique que d’habitude mais néanmoins il faudra faire attention à sa nouvelle attaque qui consiste à nous asséner un gros coup de bec plongeant. Pour l’éviter il faut sois s’écarter assez loin de lui et de suite le refrapper, ou alors, si vous avez votre barre de vie intacte, continuer comme si de rien n’était. Mais de cette façon c’est assez risqué tout de même. Essayez d’esquiver un ou deux coups de becs si possible.

Boss : Gaibon

Étrangement, la logique aurait voulu que ce soit lui que l’on ai en premier boss, car Slogra est beaucoup plus fort que lui. Cette sorte de dragon possède pourtant un grand nombre d’attaques différentes. Mais rien n’y fait, il reste cependant très facile à tuer en partie à cause que ses attaques sont très facile à esquiver et qu’il nous laisse le soin de le toucher souvent et facilement. Il survole la salle de gauche à droite et nous balance des projectiles facilement évitables. Son attaque la plus puissante est sans conteste son plongeon sur nous qui provoque immédiatement après une tombée de pics dans toute la pièce, pour ainsi terminer par un crachat de projectiles. Difficile d’esquiver tout ça, mais pas d’inquiétude à se faire car il n’aura pas l’occasion de faire cette attaque très souvent étant donné que vous l’aurez déjà touché plusieurs fois et que de ce fait il se transformera sous sa deuxième forme de couleur rouge. A ce moment cela devient encore plus simple parce qu’il n’utilise plus les techniques d’avant mais seulement une seule toute nouvelle attaque, qui plus est peut être évitée extrêmement facilement. Survolant toujours la pièce il enverra un groupe de tirs dans notre direction. Le nombre de projectile peut sembler impressionnant et inquiétant, mais il n’en est rien. L’esquive sera très simple et la victoire assurée.

Boss : La Mort

Maintenant on passe au stade supérieur niveau difficulté. La mort en personne sera un calvaire tant que vous n’aurez pas trouver la bonne technique pour l’avoir. Et même là, ce sera pas toujours simple.
Son entrée se fait de façon très classe avec tous ses double qui viennent en lui, et son design (c’est comme ça qu’on dit ?) est vraiment bien fait. Son attaque de base, des lancers de faucilles est assurément la plus dangereuse car il en lance continuellement et à très grande vitesse. L’esquive est véritablement une horreur tant il est difficile de les éviter. Il est possible de les détruire avec notre fouet, encore heureux, mais même là vous verrez qu’il arrive à nous toucher de nombreuses fois.
La technique pour lui faire perdre le plus de vie possible et sans trop se faire toucher par ses faucilles consiste à se positionner dans le coin tout à gauche derrière la petite plate-forme et frapper vers le haut continuellement. De cette façon vous pourrez toucher la mort et détruire la plupart des faucilles au passage. Son autre attaque, qu’il effectue quelque fois est un plongeon avec sa faux en avant. Pas tellement de crainte à avoir pour cette attaque étant donnée qu’on la voit venir car juste avant de plonger, la mort ne bouge pas durant une seconde. Sans oublier qu’en plus il fait cette attaque même si vous n’êtes pas en dessous. Mais bon, prenez garde tout de même.
Sa troisième attaque est tout simplement la plus stylée. Elle se décompose en deux temps. La première il se met à nous aspirer par la simple puissance de ses bras pour nous amener jusqu’à lui et ainsi entrer à son contact et perdre de précieux points de vie. Dans le même temps, sa faux se met à tourner à très grande vitesse et part de notre coté pour ainsi nous toucher au retour. Il suffit de sauter par dessus pour l’esquiver, mais faites bien votre saut au dernier moment. De plus sauter par dessus ne sera pas évident dans les débuts car le fait d’être aspirer en même temps gêne notre saut. La faux fera un deuxième tour de piste mais cette fois-ci il ne faudra pas sauter car celle-ci filera un peu plus haut que la première fois. Pour infos, l’attaque de la faux est tout simplement l’attaque la plus puissante de tout le jeu, carrément 5 points de vie, ouille ouille ouille !! Bonne chance !

Boss : Dracula

Voilà arrivé le moment tant attendu, la confrontation contre le comte Dracula. Dites vous que le combat sera encore plus dur qu’avec la mort et surtout beaucoup plus long.
On peut entendre le magnifique et sublime thème d’intro du jeu à l’approche du comte. Cela met directement dans l’ambiance, sans parler des torches qui s’allument au même moment au fur et à mesure que l’on arrive à lui. Une bien belle approche.
Dracula possède plusieurs attaques et une deuxième forme. A votre arrivée des décharges électriques apparaissent un peu partout nous indiquant que le comte est en approche. Au début il apparaît par téléportation et nous envoie un projectile. Celui ci se divise en 4 parties si vous le touchez un peu trop tard, et là il sera impossible d’esquiver le tir, à moins de laisser le bouton de la manette appuyé et faire bouger votre fouet de haut en bas pour espérer toutes les détruire. Mais malheureusement de cette façon vous n’aurez toujours pas réussi à toucher Dracula. La solution consiste à frapper le projectile aussitôt que le comte l’envoie, ce qui aura pour effet de le diviser en 2, et là vous aurez le temps de détruire celui du haut et donc esquiver l’attaque. Mais tout cela ne servira à rien si au passage vous ne frappez pas Dracula à sa tête (la seule partie du corps qui le blesse). Donc la technique consiste à attaquer Dracula au visage aussitôt qu’il apparaît et de suite viser une première fois le projectile qui se divisera donc en deux, puis directement redonner un coup de fouet au projectile se situant en haut. Sa deuxième attaque arrive quand il a perdu 4 points de vie, et c’est là que la difficulté va monter d’un cran. Il fait apparaître 2 têtes de flammes qui vous suivront jusqu’à leur mort. Donc il est conseillé de les tuer très rapidement et d’assez loin car au moment de leur décès elles tombent direct, donc soyez bien éloigné. Notez que lorsque les têtes de flammes apparaissent des flammes simples jaillissent au sol en même temps, mais disparaissent ensuite. N’oubliez pas au passage de frapper Dracula au visage sinon le combat risquerait de durer éternellement comme ça. Il possède une autre attaque aussi mais on peut dire qu’elle apporte son lot de problèmes mais surtout de satisfaction. C’est le lancer de la boule poulet (je savais pas comment l’appeler) qu’il peut envoyer à n’importe quel moment du combat. Cette attaque se compose d’une petite boule qui se ballade très rapidement dans la salle avant de disparaître par le plafond. Sa vitesse est dangereuse pour Simon car on peut se faire toucher de 3 à 4 fois, et l’on perd au passage 2 points de vie par coup reçu. Mais le bon coté de la chose c’est que si vous frappez dedans, la petite boule libère une patte de poulet à chaque fois. Limite on espère qu’il effectue cette attaque pour en récupérer cette bonne patte de poulet. Mais faites attention car il lui arrive d’envoyer 1 petite boule suivi d’une autre, et là 2 en même temps c’est ardu à esquiver mais plus simple pour en toucher une. Sans oublier que lorsque vous en avez touché une, celle ci libère d’abord pleins de mini projectiles qui vont dans le sens des aiguilles d’une montre. Ceux ci ne nous enlèvent que 1 seul point de vie, mais l’esquive est quand même conseillé. Bon malheureusement il arrive que lorsqu’on a besoin d’une patte de poulet il envoie sa petite boule qui part directement en haut de l’écran et donc adieu la nourriture.
Quand il lui restera plus que 5 points de vie, Dracula se transformera sous sa deuxième forme. Et là on entend avec un énorme plaisir le thème culte et magistral du premier stage. Des décharges électriques identiques à celles que l’on a pu voir à notre arrivée apparaissent. Il faut bien avouer que combinées avec cette musique culte cela donne un sacré effet. Dracula revient mais cette fois ci son visage a changé pour prendre place en un visage de mort. Vous n’avez plus qu’à le frapper de nouveau quelques fois au visage pour l’achever, mais ce sera plus compliqué que prévu car des colonnes d’éclairs jaillissent verticalement en quatres endroits. La difficulté c’est qu’elles surgissent un peu au hasard et il faudra réagir très rapidement lorsqu’on les aperçoit. Pour cela il faut regarder en haut, on peut voir un début d’éclair qui indique où vont apparaître les colonnes. Il faut vraiment être très rapide car c’est 3 points de vie en moins à chaque fois. Nul doute qu’il est fort conseillé d’utiliser le boomerang pour espérer le toucher à plusieurs reprises et cela plus facilement. J’oubliais, lorsque Dracula se téléporte, que ce soit sous sa première ou deuxième forme, on perd des vies si on a le malheur d’entrer en contact avec lui. En tout cas bonne chance pour le combat car il s’avère être très rude mais tellement prenant, et c’est ce qu’on attend d’un boss final digne de ce nom.

 

Générique de fin :

Dès que vous enlevez le dernier point de vie à Dracula, celui-ci revient sous sa première forme. Tout à coup la fenêtre en haut à droite se brise et laisse rentrer la lumière du jour qui s’abat sur le comte. Il se met à brûler et se décompose en plusieurs chauve souris pour finalement finir en poussière. Le générique de fin apparaît, pour un final victorieux. Cette très belle musique continue pendant tout le reste du générique en nous montrant plusieurs moments du jeu et laissant découvrir les noms de ceux qui ont crée ce jeu phénoménal et culte.

 

 

6. Le mode 7

Effet de rotation, de distorsion et autres, font la joie des joueurs et joueuses lorsqu’ils apparaissent à l’écran. Ceux de Super Castlevania 4 ne dérogent pas à la règle.

 

 

7. Les secrets du jeu

Dans Super Castlevania 4 on trouve de nombreux secret en tout genre. Les voici en détail.

 

Les salles secrètes :

1. Dans le stage 4 une salle secrète se trouve dans la zone où les chandeliers tombent du plafond. Il faut frapper le sol après le 2eme chandelier tombé. Vous découvrirez une grande salle avec plein de chandelles et donc beaucoup de contenu intéressant. Mais vous découvrirez surtout un vieil homme accompagné de son fidèle toutou zombie. Le vieil homme est paisible et ne peut et ne veut pas nous faire de mal. Mais malheureusement, sans le vouloir le chien peut nous blesser, alors que finalement il se ballade dans la salle sans pour autant chercher à nous tuer. On est donc obligé de le tuer si l’on veut découvrir se qui se trouve dans les chandelles. Et c’est en tuant ce pauvre chien zombie que l’on assiste à l’énorme tristesse de son maître qui ne peut que le pleurer, pour finalement disparaître ou mourir définitivement (si l’on peut dire) de chagrin. Triste scène. A signaler qu’on a aussi une nouvelle petite musique bien sympathique dans cette salle.

 

2. Dans le stage 9 une salle secrète se trouve dans un trou là où se positionne un aspira. Montez en haut et laissez vous aspirer par aspira et le tour est joué.

 

3. Dans le stage 3 une petite salle secrète est camouflée par des blocs de pierres destructibles. Bon faut bien avouer qu’on remarque assez facilement qu’il est peut être possible de briser ces blocs.

 

Le passage invisible :
Il existe dans le jeu un passage invisible menant directement à la plus grosse réserve d’items. Pour cela il faut aller au dernier stage du jeu et s’arrêter juste avant Dracula au niveau des escaliers. En effectuant un saut qui pourrait faire penser à un suicide vous atterrirez directement sur un bout de plate-forme menant suivi d’un escalier pour finalement être stoppé par l’écran du jeu tout à votre gauche. Et là une sorte de lumière fera apparaître un ensemble d’items qui tomberont directement à nos pieds et ce à foison. Il faut bien avouer qu’avec des cœurs au maximum et des triple coups et le boomerang, cela aide grandement contre Dracula. Libre à vous de les utiliser ou pas.

 

Les récompenses obtenues sont :

 

 

Le secret du poulet coffre :
Si il y a bien un secret qu’on se passera bien c’est celui là. Totalement énervant et long à faire il permet de récupérer un poulet en sautant 255 fois sur les coffres du stage 9. De plus le chrono ne s’arrête pas donc du temps indispensable de perdu. Mais pourtant il est possible de faire tous ses sauts et ainsi recevoir le poulet, et terminer le stage dans les temps. Mais sérieusement, qui va s’embêter à faire 255 sauts à chaque fois ? Pas grand monde.

 

 

Les items cachés : Dans tout le jeu il y a divers endroits représentant un mur destructible et renfermant un item qui vous sera bien utile. Juste quelques exemples ci dessous :

Le poulet sera souvent l’item que
l’on aura si votre barre de vie est
basse.

 

 

Les vies secrètes :
1.
1. Durant votre périple vous aurez l’occasion de découvrir dans le stage 6, un mur renfermant un item avec à la clé un 1up, et celui ci réapparaîtra à chaque vois que vous revenez. Un autre 1up est dans le jeu, mais lui est particulièrement bien planqué. il se situe tout à la fin du stage 2, juste après le boss.

 

2.

Un 1up bien pratique juste avant
le boss en plus.

 

 

 

8. Les images beta Voici des images tirées de la beta du jeu. On peut voir des décors et des ennemis différents. Très intéressant.

 

 

9. La censure

La version japonaise du jeu est améliorée de pas mal de petits détails sur le plan esthétique par rapport à la version française.

1.
Juste avant d’arriver à l’écran titre, on note une petite flaque de sang sur la version japonaise et rien du tout sur la version française.

 

 

2.
L’écran titre japonais saigne, ce qui donne la flaque plus bas. L’écran titre français ne possède rien de particulier. Même l’écriture des menus est un poil mieux pour la version japonaise, car représentée en style gothique un peu.

 

 

3.
Pour le système de mot de passe, la version japonaise se voit attribuer une croix au niveau du vitrail. Et pour les français celle-ci est carrément enlevée.

 

 

4.
En ce qui concerne le tableau d’indication en haut de l’écran en pleine partie, qui nous révèle le score, le nombre de coeur ou le temps restant, celui-ci est écrit de façon gothique avec une couleur terne allant bien dans l’esprit du jeu. Pas contre pour la version française l’écriture gothique disparaît laissant place à quelque chose de plus basique ainsi qu’une couleur plus claire.

 

 

5.
Mais la plus grande censure c’est bien entendu la suppression de tout le sang que l’on voit dans le stage 8, censé pourtant être une salle des tortures. On se voit donc affublé d’une eau couleur verte faisant office d’acide à la place de sang.

 

 

7.
Dans la version japonaise lorsque les plate-formes piquantes nous empalent, cela laisse une trace de sang sur les pics. Pour la version française, ces traces sont de couleur verte. Etrange.

 

 

 

Conseils divers à savoir

Tout plein de petits conseils bon à savoir pour entreprendre sans trop de douleur le jeu. Bien entendu la grande majorité connaissent sûrement déjà tout ça, mais détaillons les tout de même.

Le chrono fatal :
Qu’arrive-t-il à notre cher Simon Belmont si le compte à rebours arrive à expiration ? La réponse dans la photo ci-dessous.

Bah oui, il est plus tellement vivace là notre Simon.

Les escaliers traîtres et bénéfiques :
Les escaliers proposent une drôle de façon de voir les choses. Soit vous vous faites toucher et le résultat c’est que vous subissez un recul de coup et vous atterrissez en plein dans les escaliers, ce qui a comme conséquence que vous les traverser. Le résultat final est la mort si en dessous se trouve le vide absolu ou tout simplement si le scrolling de l’écran se manifeste, et bien même si 2 secondes avant il y avait un sol ou une plate-forme, et bien dans le jeu c’est comme si c’était le vide. Mais on peut prendre ce problème à notre avantage en sautant à travers les escaliers pour éviter certains ennemis ou tout simplement descendre plus vite d’une zone. Bien entendu il est conseillé de bien connaître la zone et l’emplacement des ennemis.
PS: (scrolling. J’ai eu du mal à trouver le terme adéquat !)

 

Destruction des tirs ennemis :
Cela peut sembler anodin, mais le fait de détruire les tirs ennemis facilite un peu notre avancée dans le jeu. Quelque chose de simple et logique que l’on ne fait peut être pas toujours dans nos débuts de parties.

 

 

Feinte à l’arrivée :
A certains moment du jeu on est attaqué par des squelettes qui nous attendent sur une nouvelle plate-forme, et leur but c’est tout simplement de nous frapper aussitôt que l’on a mis un pied. Pour ne pas mourir à chaque fois il faut utiliser la bonne méthode.

 

 

Garder un bon item :
Quand on possède un bon item on veut bien sur le garder et ne pas en changer. Pour éviter de le perdre il est déconseillé de frapper les chandelles en vous plaçant juste en dessous. Car si par exemple vous avez le boomerang, et que vous frappez une chandelle se situant au dessus de vous, il se peut bien qu’un autre item, et moins bon, en sortent et finalement prenne la place du boomerang.

Adieu le bon boomerang, snif !

 

 

 

Être là sans y être vraiment :
Étrange me diriez vous ! Bien en fait vous allez comprendre. Dans le stage A vous avez à divers endroits des anneaux. Pendant la montée de celles ci, si vous laissez votre fouet agrippé à l’une d’elle, et que l’anneau descend sous le scrolling, surtout ne lâchez pas le bouton de votre manette. Sur le coup on panique car on ne voit plus Simon, et donc on s’attend à une mort certaine. Mais en fait peu de temps après on a la surprise de le voir surgir du bas comme par magie. Cela fait son petit effet quand même.

 

 

Le plafond indésirable :
Super castlevania 4 est un jeu très exigeant sur la précision des sauts. Cela peut se jouer au pixel près des fois. Par exemple concernant lorsque vous voulez sauter sur une autre plate-forme, et bien il arrive assez souvent qu’on se cogne la tête au plafond et que cela nous fasse finalement défaut, au point de nous faire tomber dans le vide. Donc ne foncez pas lors de ses sauts là, car il faut avouer que quand cela arrive c’est assez agaçant, surtout quand on est quasi sûr que cela passait sans soucis.

 

 

Les pierres destructibles :
Il éxiste dans le jeu des pierres différentes de celles que l’on voit. Elles sont de couleur plus foncée mais surtout elles peuvent être détruites. L’utilité me direz vous, et bien premièrement celle de vous tuer plus rapidement, c’est top hein. Et l’autre pour tout simplement passer un passage dangereux sans trop d’encombre ou surtout pour faire ce qu’appelle certains un speedrun, pour gagner du temps quoi. Car en les cassant vous recevez des éclats qui en vous faisant perdre de la vie vous rend invincible durant 1 seconde, comme beaucoup de jeux d’ailleurs.

 

 

11. Les détails

Si l’on regarde bien durant le jeu on découvre plein de petits détails dans le décor vraiment pas mal. En voici des exemples.

 

 

 

80%
Exceptionnel

Super Castlevania IV

Super Castlevania 4 fait parti de ces jeux cultes qui ont laissé une empreinte dans le jeu vidéo, et que l'on se souvient pendant longtemps. Presque 20 ans plus tard on prend toujours plaisir à manier Simon dans ces vastes stages et avec ses boss inoubliables. La difficulté n'est pas insurmontable, surtout qu'à priori ce serait l'un des Castlevania les plus faciles. Possible, car personnellement je n'ai joué qu' à 3 autres Castlevania qui sont Castlevania sur Nes, Castlevania Adventure sur Game Boy et The Symphony of the Night sur PS1. Et de mémoire je pense que j'en ai plus baver sur ces autres Castlevania, enfin si ma mémoire est bonne. Mais le jeu n'est pas facile pour autant, loin de là. Certains passages et surtout certains boss sont très difficiles, et cela demandera de la pratique pour les avoir. Graphiquement c'est du tout bon. Bon ok ce n'est pas la claque absolue à tous les stages, par moment c'est même juste correct, mais globalement c'est vraiment très beau. Et n'oublions surtout pas ce fameux mode 7 qui nous fait profiter de stages démentiels. Bon on aurait aimé en voir plus, mais bon, c'est déjà bien plaisant de les avoir. On manie Simon impeccablement, et l'animation de son fouet remarquablement réussie nous permet de diriger tout ça sans aucun souci. Pour couronner le tout la durée de vie est fort satisfaisante car arriver jusqu'au comte Dracula vous demandera pas loin d'une dizaine d'heures si vous êtes un joueur correct, et que c'est votre première partie. Et bien sûr tout Castlevania n'en serait pas un sans ses musiques terriblement accrocheuses et mémorables. Du grand art. Bon pour ce qui est du scénario cela ne change pas beaucoup des Castlevania. Il faut botter les fesses du comte Dracula un point c'est tout. Pas vraiment un défaut en soi finalement. Donc pour ceux qui n'ont toujours pas goûté à ce jeu, n'hésitez pas et n'ayez pas peur de son année de sortie, c'est toujours un jeu exceptionnel. Vive Super Castlevania 4 !!!

  • Graphisme
  • Musique/son
  • Jouabilité
  • Scénario
  • Durée de vie

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