Super Castlevania IV

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Super Castlevania 4 est assurément l’un des meilleurs castlevania, sans compter qu’il fait partie des premiers jeux de la Super Nintendo, ce qui rend donc le jeu encore plus incroyable. Qui ne fut pas impressionné par ce fabuleux mode 7, ses musiques envoûtantes, des boss énormes, un fouet avec une animation convaincante et réaliste, de bon graphisme, etc….. Que ce soit la presse ou les joueurs et joueuses, le jeu a été très bien acceuilli, et il le mérite sans aucun doute.
Pour ce qui est de l’histoire, et bien pas grand chose de différent, on dirige Simon Belmont qui part à la recherche du comte Dracula qui vient de renaître de ses cendres. Est ce suffisant pour nous motiver à vouloir finir le jeu ? Clairement oui, car c’est finalement ce qu’on attend de ce genre de jeu. Bon d’accord, un petit scénario de plus concernant d’autres personnages qu’on découvrirait dans le château aurait été un petit plus non négligeable. Mais ne faisons pas la fine bouche pour autant.
Comme son nom l’indique, Super Castlevania 4 est le 4ème jeu de la série sur console. Mais en fait 3 autres castlevania sont sortis avant, 2 sur console portable et 1 sur micro-ordinateur. Bon il y en a eu un autre nommé “Haunted Castle” mais c’était sur borne d’arcade, donc quand même un peu différent des consoles et micro. Donc pourquoi ne pas tout d’abord nous intéresser à la multitude de Castlevania sortis sur consoles à ce jour ?

 

SOMMAIRE

1. Chronologie de Castlevania.
2. Le petit monde de Simon Belmont.
3. La carte et progression.
4. Début de l’aventure.
5. Le Test.
6. Le mode 7.
7. Les secrets du jeu.
8. Les images beta.
9. La censure.
10. Conseils divers à savoir.
11. Les détails.
12. Tests de magazines.
13. Conclusion.

 

1. Chronologie de Castlevania

1986
NES
Castlevania
(États-Unis) 1er mai 1987
(Europe) 19 décembre 1988
(Japon) 5 février 1993

 

 

1986
MSX2
Vampire Killer
(Japon) 26 septembre 1986

 

 

1987
NES
Castlevania II: Simon’s Quest
28 août 1987 (Japon)
décembre 1988 (États-Unis)
27 avril 1990 (Europe)

 

 

1989
Game Boy
Castlevania: the Adventure
27 octobre 1989 (Japon)
décembre 1989 (États-Unis)

 

 

1989
NES
Castlevania III: Dracula’s Curse
22 décembre 1989 (Japon)
sept. 1990 (États-Unis)
10 décembre 1992 (Europe)

 

 

1989
Game Boy
Castlevania II: Belmont’s Revenge
12 août 1991 (Japon)
août 1991 (États-Unis)
26 novembre 1992 (Europe)

 

 

1991
Super Nintendo
Super Castlevania IV
31 octobre 1991 (Japon)
décembre 1991 (États-Unis)
27 août 1992 (Europe)

 

 

1993
X68000
Akumajo Dracula
(japon) 23 juillet 1993

 

 

1993
PC Engine Super CD-rom²
Akumajo Dracula X: Chi no Rondo
(Japon) 29 octobre 1993

 

 

1994
Megadrive
Castlevania: the New Generation
17 mars 1994 (États-Unis)
18 mars 1994 (Japon)
20 mars 1994 (Europe)

 

 

1995
Super Nintendo
Castlevania: Vampire’s Kiss
États-Unis 20 juillet 1995
Japon 21 juillet 1995
Europe 22 février 1996

 

 

1997
plastation /saturn
Castlevania: Symphony of the Night
(Japon) 20 mars 1997
(États-Unis) 2 octobre 1997
(Europe) 1er novembre 1997
Saturn
(Japon) 25 juin 1998

 

 

1998
Game Boy
Castlevania
11 mars 1998 (États-Unis)

 

 

1999
Nintendo 64
Castlevania 64
(États-Unis) 26 janvier 1999
(Japon) 11 mars 1999
(Europe) Mai 1999

 

 

1999
Nintendo 64
Castlevania: Legacy of Darkness
(États-Unis) 30 novembre 1999
(Japon) 25 décembre 1999
(Europe) 3 mars 2000

 

 

2001
Game Boy Advance
Castlevania: Circle of the Moon
(Japon) 21 mars 2001
(États-Unis) 11 juin 2001
(Europe) 22 juin 2001

 

 

2001
Playstation
Castlevania Chronicles
(Japon) 24 mai 2001
(États-Unis) 8 octobre 2001
(Europe) 9 novembre 2001

 

 

2002
Game Boy Advance
Castlevania: Harmony of Dissonance
6 juin 2002 (Japon)
16 sept. 2002 (États-Unis)
11 octobre 2002 (Europe)

 

 

2003
Game Boy Advance
Castlevania: Aria of Sorrow
6 mai 2003 (États-Unis)
8 mai 2003 (Japon)
9 mai 2003 (Europe)

 

 

2003
Playstation 2
Castlevania: Lament of Innocence
(États-Unis) 21 octobre 2003
(Japon) 27 novembre 2003
(Europe) 11 février 2004

 

 

2005
DS
Castlevania: Dawn of Sorrow
(Japon) 25 août 2005
(Europe) 30 septembre 2005
(États-Unis) 4 octobre 2005

 

 

 

2005
Playstation 2/ Xbox
Castlevania: Curse of Darkness
(États-Unis) 1er novembre 2005
(Japon) 24 novembre 2005
(Europe) 24 février 2006
Xbox
(Europe) 24 fevrier 2006

 

 

2006
DS
Castlevania: Portrait of Ruin
(Japon) 16 novembre 2006
(États-Unis) 5 décembre 2006
(Europe) 8 mars 2007

 

 

2007
PSP
Castlevania: Dracula X Chronicles
23 octobre 2007 (États-Unis)
8 novembre 2007 (Japon)
14 février 2008 (Europe)

 

 

2008
DS
Castlevania: Order of Ecclesia
(États-Unis) 21 octobre 2008
(Japon) 23 octobre 2008
(Europe) 27 novembre 2008

 

 

2009
WII
Castlevania Judgment
(États-Unis) 18 novembre 2008
(Japon) 15 janvier 2009
(Europe) 27 février 2009

 

 

 

2009
WII
Castlevania: The Adventure ReBirth
27 octobre 2009 (Japon)
28 décembre 2009 (États-Unis)
26 février 2010 (Europe)

 

 

 

2010
Playstation 3 / Xbox 360
Castlevania: Lords of Shadow
(États-Unis) 5 octobre 2010
(Europe) 7 octobre 2010
(Japon) 16 décembre 2010

 

 

2010
Xbox 360
Castlevania: Harmony of Despair
4 août 2010 (Japon)
4 août 2010 (Europe)
4 août 2010 (États-Unis)

 

 

2. Le petit monde de Simon Belmont

Le fouet :

Ce qu’on peut dire c’est que son arme fétiche a vraiment de l’allure et bonifie le jeu par le simple fait d’être utilisée. 8 directions sont possibles et offrent un rendu remarquablement bien fluide au niveau du mouvement. Entre autres il est possible aussi d’effectuer des mouvements brouillons qui permettent à notre fouet de nous protéger de tirs ennemis, ou aussi de laisser le bouton action appuyé sans rien faire d’autre et de le voir longer notre corps et frapper par grignottement la barre de vie des ennemis en dessous de nous. Voici quelques exemples:

 

Les items :

Une bonne partie du jeu consistera (pour ceux qui veulent) à détruire les chandelles pour en extraire le contenu qui nous facilitera la tâche durant notre partie. Etrangement, cela ne nuit pas au jeu de casser sans cesse ces chandelles car cela fait partie intégrante des Castlevania et de la découverte du contenu.

 

Les chandelles sont un classique des Castlevania. A chaque brisement de celles-ci on obtient un item ou une arme. Donc ne manquez pas de toutes les détruire pour ainsi accroître votre chance de survie.

 

Les petits coeurs permettent à Simon d’utiliser des armes. Une arme sans cela ne peut être utilisée. Le petit coeur donne 1 seul coeur.

 

Les gros coeurs ont la même utilité que les petits. A la différence que ceux-ci en donnent 5.

 

L’étoile du matin est un item extrêmement important. Il procure au fouet une augmentation de puissance et de longueur. Pour avoir le fouet au maximum, il faut 2 étoiles du matin.

 

La petite cuisse de poulet permet de regagner une petite partie de points de vie. Intéressant.

 

La grosse cuisse de poulet permet de regagner une grande partie de points de vie. Indispensable.

 

La potion d’invincibilité comme son nom l’indique nous rend invincible un très court instant. Personnellement bien trop court et donc très peu utile. De plus il est rare d’en trouver

 

Les sacs d’argent cumulés permettent d’obtenir un score de plus en plus important et donc de gagner de précieuses vies.

 

Le double coup permet de lancer une arme 2 fois de suite. Très utile contre les boss.

Le triple coup permet de lancer une arme 3 fois de suite. Encore plus utile contre les boss. Evident non ?

 

La croix destructrice détruit tous les ennemis présents à l’écran aussitôt qu’on la touche. Un objet très rare.
Le 1up rajoute 1 vie. Un item extrêmement utile.

Le cristal magique est un objet que l’on gagne à chaque fois que l’on bat un boss. Il permet de terminer le niveau tout simplement.

Les armes :

Très utiles donc indispensables pour parvenir jusqu’au comte Dracula sans trop d’encombre. Mais attention, ces armes consomment des cœurs, donc faites le plein pour en profiter un maximum.

 

Le boomerang est assurément l’arme la plus efficace du jeu. Une fois lancé et touchant un ennemi, le boomerang revient dans la direction de son propriétaire et donc permet de toucher une 2eme fois l’ennemi, et tout ça sans gaspiller un 2eme cœur. Si en plus vous avez le double choc ou carrément le triple choc, alors là vous avez toutes les chances de votre coté, bien sûr en espérant que vous ayez suffisamment de cœur cela va de soi. Sans oublier que niveau puissance il dépasse la plupart des armes aussi. Une arme indispensable donc. (consommation en coeur : 1)

 

La hache est une arme puissante. Son autre avantage est qu’elle peut toucher des ennemis en hauteur et d’assez loin. Son défaut, et bien c’est qu’elle ne pourra pas toucher les ennemis près de nous mais uniquement ceux au loin. Ou alors elle peut toucher les ennemis se trouvant près de nous quand même mais pour cela il devra se trouver juste au dessus de Simon. Une très bonne arme tout de même. (consommation en coeur : 1)

 

Le couteau est l’arme la plus rapide mais en contre-partie c’est l’arme la plus faible niveau puissance. Mais si l’ennemi est suffisament loin vous aurez le temps de le tuer. C’est donc surtout une arme pour tuer à longue distance. (consommation en coeur : 1)

 

L’eau bénite, voilà l’arme que vous utiliserez le moins tellement il y a bien mieux. Pour sa puissance, pas grand chose à dire, c’est du tout bon. Mais niveau portée et impact de l’arme, alors là c’est vraiment pas fameux. Mais bon, si vous voulez du challenge en plus, pourquoi pas. (consommation en coeur : 1)

 

La montre est une arme/item presque cheatée si l’on peut dire. Elle permet d’arrêter le temps pendant quelques secondes et votre avancée n’en est donc que des plus faciles face aux ennemis impuissants durant ce court instant. Mais en contre-partie l’arme apparaît très rarement et de plus elle consomme 5 fois plus de cœur que toutes les autres armes. Au final une arme/item très utile mais rare et qui consomme beaucoup. (consommation en coeur : 5)

 

 

Système de mot de passe :

Dans Super Castlevania 4 il n’y a aucune sauvegarde automatique ou rapide. Le seul moyen de reprendre la partie là ou vous en étiez est un système de mot de passe qui vous renvoie au tout début du niveau du dernier stage arrivé. Personnellement c’est un choix judicieux et mieux qu’un système de sauvegarde qui lui en partie permet de finir trop vite un jeu en progressant par coup de sauvegarde à répétitions. Là, on reprend au début du niveau et c’est très bien comme ça, surtout pour la durée de vie. Les mots de passe sont représentés par 2 armes du jeu et 1 item, et accessoirement d’une case vide. De ce fait vous n’aurez plus qu’à remplir cette sorte de rubik’s cube avec le mot de passe donné en fin de partie.
Petite chose amusante, enfin si on veut, lorsqu’on sélectionne les items du mot de passe le son fait un bruit de battement de cœur. Morbide et stylé a la fois.

 

 

3. La carte et progression

Le jeu est découpé en 11 stages ou plus précisément 9 stages et 2 autres appelés a et b mais ceux-ci proposent malgré tout bien plus de challenge que les autres.
A chaque fin de stage on découvre sur la carte notre avancée indiquée par des pointillés et une chauve-souris montrant l’emplacement. La carte du 1er stage n’est pas vraiment indiquée en un sens, mais sur la carte pour aller au stage 2 on voit malgré tout le début du stage 1 tout en bas.

 

Progression stage par stage :

 

 

4. Début de l’aventure

L’intro :

On commence par une petite mise en scène nous expliquant le déroulement de l’histoire. Mais tout cela perdrait un peu de sa superbe sans une musique somptueuse. Et là Super Castlevania fait très fort avec un thème calme et très inquiétant et de toute beauté. Pas étonnant que cette musique soit reprise au moment de combattre le comte Dracula.

 

Entrer un nom :

Il reste encore le passage de la sélection d’un nom, utile seulement pour ceux qui veulent faire du scoring principalement.
Tout comme le mot de passe, lorsque vous sélectionnez vos lettres, un bruit de battement de cœur retentit à chaque fois.
PS: (scoring) j’ai connu l’existence de ce mot très récemment !

 

 

5. Le test

Un long parcours attend Simon.

 

Stage 1 : Les dépendances

Difficulté du stage :

Pour arriver jusqu’au château du comte Dracula il faut d’abord passer par les dépendances. Le départ se fait donc en premier lieu dans une sorte de petite cour avec comme fond musical un thème très discret et calme. Ce trajet ne durant que quelques secondes, on se retrouve sur un pont levis qui se referme derrière nous, nous obligeant donc a continuer l’aventure coûte que coûte. Ça tombe bien on est là pour ça. Sitôt passé, sitôt changement de décor et d’ambiance.
D’énorme grilles se mettent à prendre de l’ampleur comme si elles voulaient nous empêcher de partir. Mais le plus grand changement notable c’est bien entendu cette musique culte et mythique que l’on entend. Un thème magistral qui laisse inaugurer que du bon, et que l’on entend tout le long du niveau. Aussitôt les premiers ennemis apparaissent. Plutôt passifs, ils ne vous causeront que peu de difficulté. Au passage on peux remarquer que la sorte de lière sur les grilles est en mouvement constant, comme si c’était vivant. Ou c’est peut-être le vent tout simplement.
On arrive dans une sorte d’écurie ou ferme (dur à décrire) et là cela commence à bouger un poil. Les ennemis sont plus hargneux et lancent même des projectiles. Sans trop de difficulté on prend de la hauteur et on aperçoit un anneau, ce qui permettra à notre fouet de s’y agripper pour espérer passer des gouffres impossibles sans cela. Une excellente idée que ce système, sachant qu’en plus c’est très fluide et le maniement est impeccable.
La continuité du niveau se fera sans trop d’encombre. Méfiance tout de même à certaines formes de plantes bizarres se collant au plafond et tombant sur nous dès notre passage. C’est dans ce premier stage qu’on découvre des plate-formes tournantes. Le simple fait de marcher sur elles ne provoque rien du tout, mais en sautant dessus celles-ci se retournent en vous emportant au passage, ce qui conclut par une mort rapide. On y croise entre autres quelques têtes de méduses (ennemis bien connus et assez agaçants) mais celles-ci se montrent assez facile à éviter du fait de la simplicité et agencement du niveau.
Très rapidement on arrive au tout premier boss du jeu, Rowdain.

 

Image du stage 1 :

 

Ennemis du stage 1 :

 Squelette. Un des ennemis que l’on croise le plus. Il existe 3 versions de celui-ci. Un qui reste passif, un autre qui lance des os, et encore un autre qui saute. Pour le 2eme faites quand même attention car la portée de son os prend assez loin tout même. Mais dans l’ensemble il reste peu dangereux si l’on reste prudent.
Il est présent dans les stages :1, 2, 3, 4, 6, A et B.
Meurt en 1 coup.

 

Plante méduse. Très simple à tuer. Son seul et unique danger vient de quand elle est accrochée au plafond, et se prépare à tomber sur notre tête. Même comme cela il n’y a pas à s’inquiéter.
Elle est présente dans les stages : 1 et 3.
Meurt en 1 coup.

 

La méduse. Cet ennemi peut passer de assez simple à très difficile selon l’endroit en vigueur. Dans un couloir cela se passera assez bien si vous faites attention. Mais dans un niveau vertical ou carrément en mode 7, là ça se gâte méchamment. Donc prudence.
Elle est présente dans les stages : 1, 4, 8 et A.
Meurt en 1 coup.

 

Crâne squelette. Méfiez vous de lui car il envoie un groupe de 3 projectiles. Si vous lui faites face baissez vous et tuez le, ça passe facile. Ou vous pouvez tout aussi bien détruire ses tirs avec votre fouet. Si si, on peut le faire. Mais lors de certains sauts faites attention,on a tendance à oublier qu’il en envoie 3, et donc on se prend la dernière dans le corps. De plus c’est un ennemi très résistant.
Il est présent dans les stages : 1, 2, 3, 4, 5 et 8.
Meurt en 3 coups.

 

La chauve-souris. C’est l’ennemi le plus prolifique du jeu. Pas de Castlevania sans chauve-souris, c’est un fait. Alors disons que difficulté elle peut aller de facile à difficile. Les premières que l’on croise font leur petite ballade tranquille. Mais en avançant dans le jeu on croisera certaines d’entre elles qui fonceront directement sur nous. Et pas uniquement en ligne droite. Et pour couronner le tout vous en verrez aussi en groupe.
Elle est présente dans les stages : 1, 2, 3, 4, 5, 6, 9 et B.
Meurt en 1 coup.

 

Tête de cheval. Il est très rapide. Mais il agit uniquement lorsque vous êtes à sa portée. Si vous avez le fouet puissance 3, vous pouvez le tuer sans qu’il s’approche.
Il est présent dans le stage 1.
Meurt en 1 coup.

 

Bébé fantôme. Comme tout petit ennemi on s’attend à ce qu’il soit compliqué. En fait non, il est même très simple. Apparaissant dès notre approche, il avance tout doucement ce qui nous laisse largement le temps de l’avoir. Quasiment aucune crainte à avoir de lui.
Il est présent dans les stages : 1et 7.
Meurt en 2 coups.

 

Le cache-frappe. C’est un fourbe celui là. Il se planque en attendant votre venue et aussitôt qu’on se trouve à sa portée il nous assène un coup de bâton. Il peut être assez pénible à toucher car il faut surtout voir apparaître son corps et non uniquement sa main pour être sûr de le toucher. Donc quasi obligation de se rapprocher suffisament pour qu’il sorte de sa cachette.
Il est présent dans les stages : 1, 3, 4 et 7.
Meurt en 1 coup.

 

Boss : Rowdain

Le tout premier boss fait plutôt office d’échauffement que d’un véritable challenge. Vous n’aurez pas grand mal à le passer. Cependant il se peut que la 1ere fois vous vous fassiez toucher quand même. Il dispose de 2 formes, l’une sur sa monture et l’autre sans elle. A dos de son compagnon celui-ci peut vous envoyer des projectiles, et bien sûr tout contact avec lui se soldera par une perte de points de vie aussi. Sans son acolyte, Rowdain se déplace très lentement et est donc facilement atteignable sans se faire toucher. Il peut tout de même vous donner un coup d’épée si vous ne réagissez pas. De temps en temps Rowdain se disloque complètement et réapparaît en plongeant sur vous, pointe de l’épée en avant. Mais son attaque est facilement évitable aussi. Un boss très simple.

 

Stage 2 : Les marécages

Difficulté du stage :

Une sorte de cimetière marécageux vous y attend. Là les ennemis commencent à affluer et sont un peu plus agressifs. Les oiseaux, les grenouilles ou des sortes de gobelins feront partie de ceux qu’il faudra se méfier le plus, en raison surtout de leur petite taille et vitesse. La musique est de bonne facture et l’on ne s’en plaint pas.
Ensuite on quitte le temps d’un petit instant le cimetière pour arriver dans un petit endroit entièrement de terre. Pas bien long, vous finirez par arriver dans la partie la moins aceuillante, et innondée de boue.
Celle-ci grignotte vos points de vie, donc évitez d’y tomber. Si tel est le cas sortez y au plus vite. Il est vraiment conseillé de rester en hauteur dans cet endroit. Vers la fin du chemin vous atterrirez vers un pont qui vous mènera directement au boss.

 

Image du stage 2 :

 

Ennemis du stage 2 :

 La main zombie. Un ennemi qui ne vous fera perdre aucun point de vie à son contact mais qui en l’occurrence vous bloquera net ce qui aura comme conséquence d’être vulnérable aux ennemis se trouvant aux alentours.
Elle est présente dans les stages : 2 et 6.
Meurt en 1 coup.

 

L’araignée. Elle ne vous causera guère de soucis si vous attaquez en premier. La seule minime difficulté est que si vous la loupez elle vous envoie son bébé.
Elle est présente dans les stages : 2 et 8.
Meurt en 1 coup.

 

 Bébé araignée. Il est envoyé par sa chère maman dans le but de nous toucher bien entendu. Il arrive en diagonale. Mais si vous tuez la maman araignée aucun bébé n’interviendra.
Il est présent dans les stages : 2 et 8.
Meurt en 1 coup.

 

 L’homme plante. Il effectue des va et vient à vitesse moyenne sans interruption. Excepté qu’il néccessite 2 coups pour être tué, il ne sera pas d’une grande crainte pour vous.
Il est présent dans le stage : 2.
Meurt en 2 coups.

 

 Le gobelin. Faites attention à lui. Il est petit mais très rapide et effectue en même temps des aller-retour. Utilisez plutôt la technique de vous mettre accroupi et de le frapper que plutôt de sauter par dessus pour l’éviter.
Il est présent dans le stage : 2.
Meurt en 2 coups.

 

 Zombie. De vitesse très lente et pas résistant il peut pourtant vous causer des ennuis par le simple fait qu’il surgit du sol comme tout bon zombie ou mort vivant. On a tout de même le temps de le voir surgir en inspectant bien le sol et en avançant prudemment.
Il est présent dans le stage : 2.
Meurt en 1 coup.

 

 Plante vivante. Très similaire à la plante méduse au niveau de l’aspect physique, celle-ci est pourtant encore plus facile à tuer sachant qu’elle reste statique et toujours au sol. Allez, une très légère difficulté serait que si vous avançez sans regarder le sol vous pouvez la voir apparaître d’un coup et donc vous toucher.
Elle est présente dans les stages 2, 3 et 8.
Meurt en 1 coup.

 

 Le corbeau. En voilà un ennemi dont il faut se méfier. Il arrive à grande vitesse et revient à la charge exactement dans votre direction si il ne vous a pas touché.
Il est présent dans les stages : 2, 3 et 4.
Meurt en 1 coup.

 

 La grenouille. Alors là faites particulièrement attention à ce minuscule batracien. Comme je viens de dire, il est extrêmement petit, donc pénible à toucher mais surtout il effectue des bonds très rapide et allant sur une longue distance. Restez vraiment sur les plate-formes en hauteur pour éviter au maximum son attaque.
Elle est présente dans les stages 2 et 5.
Meurt en 1 coup.

 

 Le gargoyle. Il vole et fait demi-tour vers vous si vous ne l’avez pas touché. Pas vraiment grand chose à craindre de lui sauf lorsqu’il fait demi tour car sa vitesse est assez conséquente quand même.
Il est présent dans les stages 2 et 5.
Meurt en 1 coup.

 

Main voleuse. Elle ne vous causera aucun soucis niveau point de vie, mais en contre-partie si elle vous empoigne elle vous piquera vos coeurs qui permettent d’utiliser les armes.
Elle est présente dans les stages 2 et 5.
Meurt en 1 coup.

 

 Le squelette. Pareil que dans les autres stages.

 

 La chauve souris. pareil que dans les autres stages.

 

 Crâne squelette. Pareil que dans les autres stages.

 

Boss : Médusa

Vous pouvez l’enchaîner et la battre très rapidement si vous possédez le boomerang, surtout avec le double ou triple coup. Elle possède 2 attaques qui consistent à vous envoyer des méduses et une sorte de rayon en forme de cercle qui nous change en pierre durant quelques secondes. Si tel est le cas appuyez frénétiquement sur les boutons pour vous en délivrer. C’est surtout les méduses qui vous embêteront principalement car elles sont assez collantes, mais pas tellement dur à vaincre en contre-partie. A part ça vous ne devriez pas avoir grande difficulté à tuer Médusa.
Après l’avoir vaincue vous ne récoltez pas le cristal magique comme à chaque fin de stage après avoir tuer un boss. On enchaîne sur courant d’eau pour finalement conclure le stage.

 

Stage 3 : Les cavernes et la citée engloutie

Difficulté du stage :

Un parcours un peu plus difficile vous attend, enfin disons pour la citée engloutie. Mais dès le début on est pris par cette musique très douce et très calme qui donne un bel effet pour l’immersion. Ce petit périple débutant dans une caverne propose des ennemis lents, ce qui est en adéquation avec la musique. La seule difficulté rencontrée sera surtout lors de votre première visite lorsque vous passerez sous des stalactites qui ne manqueront pas de vous écraser. L’effet de surprise passé, vous saurez à l’avenir les éviter sans encombres logiquement.
Peu de temps après vous arrivez aux abords de la citée engloutie. Un peu d’escalade vous y attend. Au passage profitez des mini cascades au fil de votre montée. Faites attention à vos sauts, surtout le tout dernier en haut qui se joue au millimètre près.
La suite risque de vous poser problème et pas qu’un peu. Triton cracheur, dragon squelette, pierre qui se brise, j’en passe et des meilleurs. La musique aussi change complètement de registre dans un style plus accéléré. Plusieurs passages avec des anneaux vous obligent à jouer du fouet. Fun mais dangereux. Attention aussi à quelques passages au niveau des escaliers, car il est très facile de se faire toucher et donc de les traverser durant notre chute, et mourir finalement.

 

Image du stage 3 :

 

Ennemis du stage 3 :

 L’homme de pièrre. L’un des ennemis les plus long à abattre, du fait de son dédoublement, et aussi l’un des plus facile à éliminer, en raison de sa lenteur et passivité. Son originalité est qu’au lieu de mourir comme n’importe quel autre ennemi, il se décompose en 2 autres hommes de pierre mais de plus petite taille, et réitère cela encore 1 autre fois ensuite, et ce en de plus petite taille encore, jusqu’à disparaître totalement au 2 derniers coups.
Il est présent dans le stage : 3.
Meurt en 6 coups, voire 12 si on les prends en compte 1 par 1.

 Boule piquante. Cette sorte d’ennemi bizare est complètement invincible et insensible à la douleur. Elle tournoit tout autour d’une pierre ou d’une petite plate-forme. L’évitement est la seule chose à faire dans ce cas. Soyez rapide quand vous passez par dessus car elle arrive assez vite tout de même.
Elle est présente dans le stage 3.
Ne peut pas mourir.

 Le triton. Il surgit sans crier gare et se permet même de vous cracher dessus à longue distance et à grande vitesse. Il est conseillé de foncer lorsqu’ils arrivent pour éviter d’être touché par leur crachat. Il est vrai que le décor n’est pas vraiment propice pour une course avec ses autres ennemis et ses pierres qui se fissurent, mais c’est peut être pourtant la meilleure solution.
Il est présent dans le stage 3.
Meurt en 1 coup.

 Le dragon squelette. C’est l’ennemi le plus résistant de tout le bestiaire. Particulièrement agaçant à toucher du fait qu’il bouge constamment et que seul sa tête est tuable. Son attaque de base est un tir simple. Mais son allonge du à son coup très long lui confère une chance supplémentaire de vous toucher. Donc il faut se rapprocher assez près de lui pour espérer le toucher. A moins bien sûr d’utiliser des armes secondaires si vous en avez, et suffisament de coeur aussi bien entendu.
Il est présent dans les stages : 3, 8, 9 et A.
Meurt en 7 coups.

  L’oeil de sang. Durant son trajet complètement horizontal, il lache une goutte de sang toxique pour notre ami Simon. Celle-ci est facilement évitable mais l’oeil en lui-même est un poil plus dangereux. Surtout que si vous l’évitez et que vous ne le tuez pas rapidement, il effectue une attaque plongeante dans votre destination. Petite prudence donc.
il est dans les stages : 3 et 8.
Meurt en 2 coups.

 Le chevalier squelette. Un peu plus résistant que son homologue de base grâce à une armure. Il hérite en plus d’une épée ayant une assez bonne allonge. La position baissée plus coup de fouet sera la meilleure attaque contre lui. Attention cependant car on le retrouve quelques fois au bord du vide vous gênant le passage à votre atterissage. Méfiance.
Il est dans les stages : 3, 4, 5, 6, 9, A et B.
Meurt en 2 coups.

 Plante vivante. Pareil que dans les autres stages.

 Le corbeau. Pareil que dans les autres stages.

 La chauve souris. Pareil que dans les autres stages.

 Crâne squelette. Pareil que dans les autres stages.

 Le squelette. Pareil que dans les autres stages.

 Le cache-frappe. Pareil que dans les autres stages.

 

Boss : Vipères orphiques

Les vipères orphiques ne sont vraiment pas compliquées à battre. Déjà elles ne lancent leurs attaques que de temps en temps et deuxièmement vous pouvez facilement les éviter. Le plus dangereux au pire est peut-être de ne pas tomber dans l’eau tout à droite ou à gauche, dans lequel cas cela en serait fini pour vous. Vraiment, un boss plus impressionnant que dangereux.

 

 

Stage 4 : La tour de la mort

Difficulté du stage :

En voilà un stage vraiment très intéressant. Il est assez long et inclus 2 boss au lieu d’ 1, et est enrichit d’un mode 7 fabuleux et révolutionnaire pour l’année de sa sortie. . Sans oublier une difficulté plus poussée. Que du bon.
La tour est divisée en 4 petite zones. La 1ere nous ballade dans un lieu quasiment occupé par des squelettes plutôt hargneux. Mais la plus grosse difficulté sera ses petites plate-formes vertes (bouh la couleur) qui se retourneront aussitôt que vous sauterez dessus. Et il faudra être rapide, sinon c’est la chute et donc la mort directe. Le thème musical donne un coté assez inquiétant, et une fois de plus il est agréable à l’oreille. Le boss, une énorme tête de squelette attend au bout.
Juste après c’est là qu’on entre dans la toute première zone bluffante du jeu. Un passage en mode 7. Avançant dans une sorte de petite salle accompagnée de pleins de pics mortels, on découvre au centre de celle-ci un anneau pour fouet. Et c’est là qu’on découvre avec étonnement un énorme effet de distorsion. Lorsque l’effet s’arrête il faut vite lacher l’anneau pour atterrir sur une petite plate-forme. Au même moment entre en scène ces satanées têtes de méduse qui n’en finissent pas d’apparaître. Après les avoir éliminées ou esquivées (c’est au choix) l’effet de distorsion remet ça de plus belle, et il faut donc encore s’accrocher à l’anneau. Lorsque la salle se trouve complètement à l’envers de là ou vous êtes arrivé, des blocs de pierres se joignent pour former une longue plate-forme qui permet à Simon de sortir de cette salle mortelle.
Aussitôt entré dans la nouvelle petite zone on découvre avec grand étonnement et éblouissement que l’on est encore dans une zone avec le fabuleux mode 7. Et là c’est encore la claque car en plus l’effet est plus rapide. Mais attention car des squelettes tombent du plafond qui tourne. De plus le sol se dérobe sous nos pieds au fur et à mesure que l’on avance, donc évitez surtout de vous faire toucher par les ennemis, sinon il y a une bonne chance de chute dans le vide. Une zone très courte mais forte en émotions. La musique est très belle et va à vive allure.
La dernière zone ressemble à un labyrinthe de pierre. Il faut avancer prudemment, vite des fois, et trouver le bon chemin, sinon c’est l’écrasement et one shot direct. Plusieurs chemins sont possibles mais un seul est véritablement conseillé. On peut apercevoir plein de chandelles à droite ou à gauche et cela donne envie d’aller y faire un tour pour y découvrir ce qui se cache dedans et si des passages secrets s’y trouveraient. Mais bien sûr c’est plus un piège qu’autre chose. La meilleure chose à faire c’est d’aller constamment en haut par la droite. Ou alors, petite astuce, il suffit d’aller complètement à droite et passer par le petit chemin en tombant et on arrive au même chemin que si on on avait été au sommet, bizarre donc, mais bon. C’est le même thème musical que la zone d’avant, et cela renforce l’immersion sachant qu’on peut pas avancer bien vite. Un énorme golem de pierre vous attend au sommet.

Image du stage 4 :

 

Ennemis du stage 4 :

 Le squelette fou. Un ennemi plutôt comique quand on le voit gesticuler dans tous les sens. Pas grand chose à dire à part qu’il ne vous causera guère de difficulté. Il brasse de l’air et c’est tout, et n’a pas grande portée.
Il est présent dans les stages : 4 et 8.
Meurt en 2 coups.

 Monstruosité murale. Cette chose toute bizarre surgit de certains murs. Lorsqu’on ne connaît pas ses emplacements on a de grandes chances d’être touché. Mais lorsqu’on les connaît, il n’y a plus grand chose à craindre d’elle.
Elle est présente dans le stage : 4.

 Cache-frappe. Pareil que dans les autres stages.

 La méduse. Pareil que dans les autres stages.

 Le corbeau. Pareil que dans les autres stages.

 Le squelette. Pareil que dans les autres stages.

 Le chevalier squelette. pareil que dans les autre stages.

 La chauve souris. Pareil que dans les autres stages.

 Crâne squelette. Pareil que dans les autres stages.

 

Boss : Puwexil

Puwexil fait office de 1er boss dans la tour. Avec lui on ressent les premières difficultés réelles pour un boss. Déjà il faut dire qu’il prend assez de place, et contrairement aux vipères orphiques lui il se déplace partout, et est donc très gênant. Il possède 2 attaques différentes et une 3eme mais qui n’en est pas vraiment une. La 1ere c’est son énorme langue. Celle-ci peut être particulièrement gênante à cause de sa longueur et donc de sa grande portée. Il vaut mieux rester au sol quand il la sort. Sa seconde attaque consiste à nous balancer une sorte de déchet toxique en forme de 3 grosses boules. Elles sont assez facile à éviter mais Puwexil en profite aussi pour combiner cette attaque avec la 1ere, donc méfiance. Et la 3eme attaque qui n’en est pas exactement une comme je l’avais dit c’est qu’en fait le plafond laisse tomber des morceaux de pierre (je vois pas trop ce que c’est en fait exactement) sur Simon à chaque fois que l’on touche Puwexil. Ce piège (obligatoire) fait sûrement partie du moment le plus dur contre ce boss. Un bon moyen pour le battre facilement et rapidement consiste à rester juste en dessous de lui et le frapper avec le fouet constamment. Les morceaux qui tombent du plafond ne seront pas un soucis car on peut les briser avec le fouet de toute manière. En tout cas c’est un boss très glauque qui colle parfaitement à l’ambiance du titre.

 

Boss : Koranot

Koranot est un énorme golem de pierre qui va vous donner à peu près la même difficulté que Puwexil, le boss d’avant. Il possède seulement 1 attaque qui se compose d’un lancer de pierre envoyé par lui même. La pierre est assez facilement évitable mais la taille imposante du golem complique un peu la chose. Surtout quand arrive le même genre de problème qu’avec puwexil, c’est à dire que le plafond s’effrite et laisse tomber des blocs de pierre. Mais ceux ci ne tombe pas quand on touche le boss, mais seulement au hasard. Et les éviter n’est pas toujours facile car il faut avoir l’œil. Mais bon, à force on prend l’habitude. 2 petites plate-formes bougeant de haut en bas se joignent au combat. Personnellement je pense qu’il n’est pas conseillé de monter dessus, car cela nous rend la tâche encore plus ardue au moment de la chute de pierre arrivant sur le coup trop vite. Un bel effet du mode 7 fera son apparition au moment de la mort du golem.

 

 

Stage 5 : L’entrée du château
Difficulté du stage :

Bon, pas grand chose à dire sur ce stage qui est tout simplement le plus court de tout le jeu et l’un des plus faciles. Quasi aucune difficulté ne vous attend et on le fini très rapidement. Seules quelques gargoyles peuvent au pire vous toucher, mais il n’y a pas tellement de crainte à avoir autrement. On a même pas un petit boss à se mettre sous la dent. Disons que ce stage permet de respirer un peu par rapport à ce qui vous attend juste après.

Image du stage 5 :

 

Ennemis du stage 5 :

 La harpie. Se balladant horizontalement et s’arrêtant systématiquement devant nous, sa seule difficulté c’est lorsqu’elle jette le gremlin. A part ça, rien à craindre d’elle, car facile à éviter et à toucher.
Elle est présente dans le stage : 5.
Meurt en 1 coup.

 Le gremlins. Lancé par par l’harpie, celui-ci est éjecté et bondit sur vous comme un lapin. Pareil, pas grande difficulté pour le tuer. Sachant qu’en plus on aura déjà eu largement le temps de tuer l’harpie, donc aucune inquiétude à avoir.
Il est présent dans le stage : 5.
Meurt en 1 coup.

La chauve-souris. Pareil que dans les autres stages.

Crâne squelette. Pareil que dans les autre stages.

Chevalier squelette. Pareil que dans les autres stages.

 La main zombie. Pareil que dans les autres stages.

La gargoyle. Pareil que dans les autres stages.

 La grenouille. Pareil que dans les autres stages.

 

 

Stage 6 : Le hall

Difficulté du stage :

On sent nettement la différence à partir de ce stage là. Le niveau est très long et surtout il se classe comme l’un des 2 stages les plus durs du jeu, en compétition avec le stage 8 (quoique celui-ci soit encore un poil plus dur). En outre on notera un autre passage en mode 7 magnifique avec des chandeliers gigantesques.
Dès notre arrivée on est accueilli par une multitude d’ennemis reposant à tout va si on a le malheur de revenir trop en arrière. Il est vraiment conseillé de tuer tout les ennemis dans le stage durant votre avancé sinon c’est la surpopulation assurée. Passé cette zone accueillante on atteint avec joie (trop bien fait) et difficulté la zone des chandeliers en mode 7. C’est clairement impressionnant, surtout en se rappelant l’effet que cela nous a procuré lors de la sortie du jeu. Il faut sauter de chandelier en chandelier (il y en a 4) qui se composent de 4 petites plate-formes sur ceux ci. Et sérieusement les premières fois c’est pas si évident que ça car il faut sauter au bon moment. La meilleure solution consiste à sauter quand le chandelier vient vers nous.
La zone qui suit est peut être la plus compliquée de ce stage. Un attroupement d’ennemis assez rapide vont nous rendre la vie impossible. Ectoplasmes et majordomes sont de simples exemples d’ennemis très contraignants et agaçants. Petit défaut pour ce stage concernant les graphismes. Pour ma part je trouve que c’est le stage le moins beau du jeu. Ils ne sont pas moches du tout,mais ce sont les moins bien voilà, enfin ce n’est que mon avis bien entendu. Et puis cette couleur verte surtout pas très bien en osmose avec ses escaliers et sols. Mais bon je chipote, n’oublions pas que nous somme sur l’un des premiers jeux de la console. Mais cette zone recèle pourtant un passage secret fort intéressant mais un peu triste, snif ! Les zones suivantes sont envahies de squelettes divers et font apparaître pour la première fois dans le jeu des squelettes de sang qui ont la particularité d’être immortels, tel que le chien zombie d’ailleurs. Continuez à monter et vous arriverez au boss.
N’oublions pas bien entendu la belle musique du stage qui nous accompagne tout le long.

 

Image du stage 6 :

 

Ennemis du stage 6 :